AD Laurent accusé de viols : « une jeune femme détruite », les révélations de son avocat

Lyon. Un restaurant buffet à volonté fermé à l’OL Vallée : « Une menace pour la santé »

Un restaurant asiatique de buffet à volonté a été fermé pour des manquements à l’hygiène à l’OL Vallée, à côté du Groupama Stadium de Décines, près de Lyon, ce mercredi 20 mars.

Hier Décines-Charpieu

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Excès de vitesse : cet avocat explique comment garder ses points même quand on est flashé

Si vous n’avez plus beaucoup de points, cette stratégie légale peut vous permettre de conserver votre permis de conduire.

Ils sont le cauchemar des automobilistes. En 2022, d’après l’observatoire national interministériel de la sécurité routière, les forces de l’ordre ont relevé plus de 30 millions d’infractions au Code de la route. Plus de la moitié d’entre elles,  16,2 millions exactement, sont des excès de vitesse constatées par des radars automatiques.

Mais à ce sujet, les Français ont appris une bonne nouvelle pour leur portefeuille. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, les petits excès de vitesse, ceux inférieurs à 5 km/h, ne sont plus sanctionnés d’une perte de points. Mais attention, l’infraction n’est pas dépénalisée. Elle reste punie par une amende. L’automobiliste en infraction devra s’acquitter de 68 euros hors agglomération et 135 euros en ville.

En revanche, au-dessus de 5 km/h, l’automobiliste rattrapé par la patrouille risque de perdre des points sur son précieux sésame. Par exemple, un excès de vitesse supérieur à 30 km/h est punissable d’une amende de 135 euros, d’une perte de 3 points, et peut également entrainer la suspension du permis de conduire pour une durée de trois ans.

Mais dans le cas où un excès de vitesse est constaté par un radar automatique fixe, l’automobiliste a des chances de conserver les points de son permis. « C’est au parquet de prouver que vous conduisiez. Si la photo est de face, bonne et que vous êtes au volant de votre propre voiture, vous êtes coincé », explique Me Eric de Caumont, avocat spécialisé dans le droit des automobilistes. « Mais si la photo n’est pas bonne, floue ou de dos, comme dans 90% du temps, le titulaire de la carte grise peut contester en affirmant qu’il ne sait pas qui conduisait. Dans ce dernier cas, le parquet ne peut pas identifier la personne au volant ». Ainsi, « si vous tenez à vos points et à votre permis, la loi vous autorise à ne pas avouer ». En revanche, l’automobiliste devra s’acquitter d’une amende en tant que titulaire du certificat d’immatriculation plus importante que s’il avait payé immédiatement. Mais il ne perdra ni points ni ne verra son permis suspendu.

Mais, comment l’automobiliste peut-il savoir s’il est identifiable sur la photo prise par le radar ? Tout simplement en demandant le cliché sur le site du ministère de l’Intérieur. Seul problème : la réception de la photo peut mettre du temps à arriver par la poste. Vous pouvez même la récupérer après le délai de 45 jours que vous avez pour contester la sanction. Mais est-ce vraiment un problème ? Non, pour Me Rémy Josseaume, avocat spécialisé en droit routier, qui estime que demander cette photo n’a « pas d’intérêt » : « Elles sont de piètre qualité. Éventuellement, vous arrivez à distinguer quelqu’un sur une photo sur 100 000. » 

Donc, en cas d’avis de contravention ou de convocation au tribunal, l’avocat donne son principal conseil : « n’avouez jamais ». « Parce que, aussi fou que cela puisse paraitre, on a le droit de mentir. On a le droit de ne pas s’auto-incriminer, c’est légal et prévu par les textes ». Il ajoute que dénoncer le véritable conducteur, si jamais l’automobiliste a prêté son véhicule, « peut être un moyen de s’exonérer, mais ce ne pas une obligation ».

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Un avocat et deux journalistes condamnés après avoir voulu aider des jihadistes à quitter l’Etat islamique pour se rendre

Les journalistes Edith B. et Céline M., ainsi que l’avocat Bruno V., ont été condamnés ce vendredi 22 mars après notamment avoir transféré des fonds à des membres de l’Etat islamique afin de les aider à se rendre.

Des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis ont été prononcées ce vendredi 22 mars contre un ex-avocat de jihadistes et deux journalistes jugés à Paris pour avoir notamment transféré des fonds à des membres du groupe Etat islamique (EI), selon eux pour les aider à quitter le «califat» et se rendre. La peine la plus lourde, soit trois ans d’emprisonnement assorti du sursis simple, vise l’ancien avocat Bruno V., 50 ans. Le ministère public avait requis en janvier cinq ans d’emprisonnement avec sursis à son encontre.

L’avocat a reconnu avoir participé à la corruption d’un officier de l’armée irakienne pour tenter, en vain, d’épargner la vie du jihadiste Maximilien Thibaut lors de la bataille de Mossoul en Irak en 2017, selon lui afin qu’il se rende. L’ex-avocat reconnaît la corruption, mais rejette les accusations de financement du terrorisme. Le tribunal l’a reconnu coupable de financement mais l’a relaxé sur le volet de l’association de malfaiteurs terroriste. Il l’a condamné à une amende douanière solidaire de 10 000 euros, amende demandée par les douanes et à payer avec les deux prévenues journalistes.

Ces dernières, Edith B., 43 ans, et Céline M., 44 ans, ont également été condamnées, respectivement à 10 et 12 mois d’emprisonnement assortis du sursis simple, sur la ligne des peines requises par le procureur. Autrices d’un livre-enquête sur les femmes françaises ayant rejoint l’EI, elles étaient jugées pour avoir transféré des fonds afin de payer des passeurs pour «exfiltrer» plusieurs femmes de Syrie ou d’Irak, et pour avoir pris part à l’opération ratée de sauvetage de Maximilien Thibaut.

«Un gouffre entre la réalité du terrain et ce que la justice croit pouvoir en faire»

Devant le tribunal, Edith B. et Céline M. avaient admis être «sorties du cadre» de leur métier, mais avaient maintenu avoir agi par «humanité», pour «sauver des vies». A l’issue de la décision du tribunal de les condamner, toutes deux se sont dites «choquées par la sévérité d’un jugement qu’elles ne comprennent pas» et ont fait part du «sentiment de n’avoir pas été entendues». «Il existe décidément un gouffre entre la réalité du terrain et ce que la justice croit pouvoir en faire», développent-elles dans un message écrit, affirmant «n’avoir jamais financé le terrorisme» qu’elles combattent «chaque jour dans leur profession». Elles ont déjà fait appel de la décision, a indiqué leur avocate Me Marie Dosé à Libération.

Trois autres prévenus étaient poursuivis dans ce dossier, deux mères et le beau-père de jeunes Français convertis et radicalisés, partis rejoindre l’EI en Syrie. Il leur était reproché d’avoir envoyé plusieurs milliers d’euros à leurs enfants, pour subvenir à leurs besoins selon eux, entre 2014 et 2017. Les deux mères étaient également jugées pour avoir détourné les fonds d’associations de parents en détresse, qu’elles avaient fondées. Valérie B. a été condamnée à deux ans de prison avec sursis simple et 20 000 euros d’amende, Anne S. à un an d’emprisonnement avec sursis simple et 3 000 euros d’amende.

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Affaire Grégory: l’avocat de Bernard Laroche appelle à la « prudence » avant les nouveaux actes d’enquête

Alors que des nouveaux actes d’enquête pour élucider la mort du petit Grégory en 1984 ont été accordés par la cour d’appel de Dijon, l’avocat de Bernard Laroche, assassiné par le père de l’enfant, ne veut pas que de nouvelles personnes soient « jetées en pâture ».

Un signal d’alarme pour éviter de nouvelles victimes. Près de 40 ans après la mort du petit Grégory, retrouvé ligoté dans la Vologne en octobre 1984, la cour d’appel de Dijon a accédé à la demande des avocats des parents du garçon qui réclamaient de nouveaux actes d’enquête pour élucider la mort de leur enfant.

Un complément d’analyse ADN avec des rapprochements encore non effectués va être réalisé, tout comme une étude de faisabilité en biométrie vocale en se servant des progrès de la science pour réanalyser la voix des corbeaux dans cette affaire et ainsi définir une « identité vocale ».

« Soyons prudents »

Ces nouveaux éléments d’enquête ne doivent pas obligatoirement être perçus comme un « rebondissement » de l’affaire, selon Gérard Welzer, avocat de Bernard Laroche, mis en examen en novembre 1984, puis libéré en février 1985, et assassiné en mars 1985 par son cousin Jean-Marie Villemin, père de Grégory.

Episode 2 : Jean-Marie Villemin tue Bernard Laroche
Episode 2 : Jean-Marie Villemin tue Bernard Laroche

« Je dis prudence. La recherche de la vérité est tout à fait légitime, mais soyons prudents », a-t-il alerté sur BFMTV.

Il a développé: « Depuis le 16 octobre 1984, à intervalles réguliers, on nous a annoncé des rebondissements ou ‘la semaine décisive’. À chaque fois, malheureusement, il n’y a rien eu, si ce n’est que des victimes. »

L’avocat a ensuite cité quatre victimes dans l’affaire: le petit Grégory, Bernard Laroche, le juge Jean-Michel Lambert – qui s’est suicidé en juillet 2017 – et la justice. Pour éviter de nouvelles victimes, les noms des personnes dont l’ADN va être analysé ne doivent pas être « jetés en pâture » dans les médias. « Leurs enfants et petits-enfants sont vivants et ils n’en peuvent plus. »

Théo Putavy

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Projet de golf à Villeneuve-de-la-Raho devant le tribunal administratif : l’avocat du promoteur contre-attaque

Après la mobilisation historique de 4 000 personnes, samedi 16 mars, à Villeneuve-de-la-Raho, contre le projet de Zone d’aménagement concerté (ZAC), l’avenir du golf et des projets immobiliers soutenus par la maire de la commune, Jacqueline Irlès, est-il menacé par les recours des opposants ?

Deux recours examinés au tribunal administratif

Pour maître Gras, l’avocat de la société d’aménagement de la ZAC golfique de Villeneuve-de-la-Raho, cela est peu probable. « On verra bien ce que le juge décide, en tout cas nous avons des arguments qui tiennent la route« , assure-t-il avant de confier : « je suis parti pour vaincre et je me place uniquement dans cette hypothèse là ».

C’est donc avec assurance que Philippe Gras a plaidé ce jeudi 21 mars contre les recours des opposants qu’il estime « irrecevables ».

« Irrecevable »

« Les requérants ne justifient pas d’un intérêt donnant qualité à agir », affirme-t-il. En d’autres termes, les opposants ne sont pas assez concernés par le projet, d’après lui, pour constituer ces deux recours, l’un déposé par Agissons et Pays Catalan Écologie, l’autre par Frene 66.

« L’association Frene a pour objet la défense des espaces agricoles, or ici l’acquisition de la dernière parcelle de 371 m² de vignoble par mes clients, ce n’est pas ce qui va bouleverser l’économie viticole des Pyrénées-Orientales » a déclaré l’avocat du promoteur. « Il y avait aussi une personne physique requérante, qui n’est plus propriétaire à l’intérieur du périmètre de la ZAC puisque cette personne a été expropriée avant le dépôt du recours ».

La question des eaux usées

Et sur l’utilisation de l’eau, l’avocat de la société d’aménagement est formel : « L’eau proviendrait soit d’eaux usées épurées, soit du stockage d’eau de ruissellement, donc ça ne prélèvera pas d’eau destinée aux cultures ou à l’alimentation humaine » martèle Philippe Gras.

En face, Mathieu Pons Serradeil, l’avocat de l’association « Agissons » qui demande la suspension de l’arrêté de prorogation de la déclaration d’utilité publique du préfet, s’inquiète tout de même de la possibilité, avec l’arrêté « Loi sur l’eau », d’utiliser de l’eau du lac et du canal d’irrigation pour arroser le futur golf car selon les opposants, les eaux usées ne suffiront pas.

Alors toute la matinée, leur avocat a plaidé pour faire stopper ce projet. « L’argument numéro c’est la survenance de circonstances nouvelles, liées à l’état de sécheresse dans lequel est le département maintenant », a-t-il expliqué.

Le juge des référés rendra sa décision ce vendredi 22 mars en fin de matinée.

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Absurde » : Le procureur général des États-Unis se défend de ne pas avoir censuré l’avocat spécial sur la mémoire de Joe Biden

Le procureur général des États-Unis, Merrick Garland, s’est défendu jeudi contre les critiques de la Maison Blanche et des démocrates selon lesquelles il aurait dû empêcher un avocat spécial de parler de la mémoire du président Joe Biden dans un rapport sur la gestion de documents classifiés par le président.

L’avocat spécial Robert Hur a écrit que Joe Biden, 81 ans, pourrait apparaître à un jury comme un « homme âgé, bien intentionné et doté d’une mauvaise mémoire » dans un rapport publié le mois dernier, qui expliquait la décision de ne pas engager de poursuites contre lui pour avoir conservé des documents classifiés après avoir quitté la vice-présidence.

« L’idée qu’un procureur général puisse éditer, caviarder ou censurer l’explication de l’avocat spécial sur les raisons pour lesquelles il a pris la décision qu’il a prise est absurde », a déclaré M. Garland lors d’une conférence de presse sur le procès antitrust intenté par le ministère de la justice à l’encontre d’Apple.

M. Garland a refusé de dire s’il pensait que M. Hur aurait dû inclure une évaluation de la mémoire de M. Biden, mais il a rappelé qu’il s’était engagé à rendre publics tous les rapports des conseillers spéciaux au cours de son mandat.

M. Hur a trouvé des preuves que M. Biden avait volontairement conservé des dossiers gouvernementaux sensibles après la fin de ses huit années de vice-présidence en 2017, mais il a décidé de ne pas porter d’accusations.

Le rapport a déclenché une tempête politique, car il touche à une préoccupation centrale des électeurs concernant la mémoire du président, alors que M. Biden cherche à se faire réélire. La Maison-Blanche et les parlementaires démocrates ont dénoncé le fait que ce rapport était inapproprié de la part d’un procureur qui a refusé de porter des accusations criminelles.

La Maison-Blanche a refusé de commenter les remarques de M. Garland.

Donald Trump, le candidat républicain qui défie M. Biden lors des élections américaines du 5 novembre, a critiqué le ministère de la justice pour ne pas avoir inculpé M. Biden au sujet de ces documents.

M. Trump fait l’objet d’une inculpation fédérale de la part d’un autre avocat spécial pour avoir conservé des documents classifiés, dont certains portant sur des questions sensibles de sécurité nationale, après avoir quitté ses fonctions en 2021. M. Hur a noté que M. Trump a refusé de les remettre, alors que M. Biden a coopéré avec les enquêteurs.

M. Garland a nommé M. Hur l’année dernière pour mener une enquête après la découverte de documents classifiés au domicile de M. Biden dans le Delaware et dans un ancien bureau à Washington. Les conseillers spéciaux, qui sont nommés pour donner aux enquêtes sensibles un certain degré d’indépendance par rapport à la direction du ministère de la justice, publient généralement un rapport sur leurs conclusions.

Interrogé sur la réaction de la Maison-Blanche, M. Garland a rappelé que lorsque M. Biden l’a nommé ministre de la justice, le président s’est engagé à préserver l’indépendance du ministère de la justice et a déclaré que le ministre de la justice ne devait pas être « l’avocat du président ».

« Je crois sincèrement que c’est ce qu’il voulait à l’époque, et je crois sincèrement que c’est ce qu’il veut aujourd’hui », a déclaré M. Garland.

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« Je ne vous défendrai pas contre votre volonté. » : l’avocat d’un assassin explique pourquoi il a plaidé la perpétuité

l’essentiel Du 11 au 13 mars s’est tenu le procès d’Hichame Bahloul, condamné à perpétuité par les jurés de la cour d’assises. Ce dernier avait reconnu les faits, mais la singularité de ce procès se niche dans la volonté du client de Me Verdier. En effet, il souhaitait être condamné à la prison à vie, poussant l’avocat à une plaidoirie, unique en son genre.

La cour d’assises est circonspecte. Plusieurs jours après le verdict, ses confrères échangeaient encore à propos de cette plaidoirie, unique en son genre. Me Verdier, avocat de la défense, a plaidé la perpétuité pour son client, Hichame Bahloul, dans l’affaire de l’assassinat d’une ressortissante britannique.

Une peine supérieure à la réquisition de l’avocate générale, qui avait requis 30 ans. « Une première en 27 ans de carrière », assure François Verdier, avocat à Marmande. Le quinquagénaire remonte le fil de cette affaire extraordinaire :  » Au départ, M. Bahloul ne veut pas d’avocat. Je l’avais assisté quelques jours auparavant pour un incendie dans un photomaton. La famille me contacte pour cela, j’étais à Agen, je décide d’aller à sa rencontre. »

Elle a lieu au moment de son défèrement. « Je lui demande pourquoi il ne veut pas d’avocat et me rétorque qu’il ne veut pas que celui-ci le force à plaider non-coupable », rembobine l’avocat. Très rapidement, il le rassure : « Je ne vous défendrai pas contre votre volonté. »

« Il m’a toujours soutenu vouloir être en prison »

Dès leur deuxième rencontre et jusqu’aux dernières secondes du procès, son client lui répétera inlassablement la même chose : « Je veux finir ma vie en prison. » « J’ai eu du mal à m’y faire, il faut l’admettre, c’est impensable. Après, en apprenant à connaître sa personnalité, j’ai compris », admet François Verdier.

« L’enfer de l’un est le paradis de l’autre », image l’avocat. Une détermination sans faille que l’homme de droit a bien voulu vérifier : « Je lui demandais toujours si c’était sa volonté, jusqu’à la fin, il a gardé le cap. » Alors, plus d’autres solutions pour le procès qui approche. « Pour ma plaidoirie, je trouve la citation de Badinter*, elle me permet, d’avoir deux voies possibles, au cas où il change d’avis », confie Me Verdier.

« Merci Me, je suis très content »

Hichame Bahloul ne bougera pas d’un iota. « Je n’ai pas écrit ma plaidoirie, j’avais un plan en tête, accrocher les jurés puis revenir sur les faits, mes options et soulever ce qui n’est pas apparu dans les débats. Les jurés n’ont pas accès au dossier. Enfin, je dois endosser le rôle du procureur et l’enfoncer pour espérer réussir mon coup. »

Chose réussie, son client obtient la perpétuité. « Ce n’était pas gagné, il y avait altération de son jugement, d’où ces réquisitions », confie Me Verdier. Après avoir surpris l’assemblée, le verdict tombe. Son client lui glissera avant de rejoindre la prison : « Merci, je suis très content. »

* »La défense c’est ne jamais céder un pouce de terrain à l’adversaire, ne jamais rien tenir pour acquis à l’accusation. C’est refuser même d’admettre l’évidence. Parce que personne, jamais, n’est coupable de rien, même pas du crime qui vient d’être commis avec le cadavre encore chaud et le revolver dans la main du meurtrier. Même s’il avoue ton bonhomme, même s’il veut qu’on le condamne, pour toi, avocat, il n’est pas coupable » NDLR.

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Mort de Thomas à Crépol : malgré plus de 200 auditions, « il n’en ressort pas de version cohérente », selon l’avocat d’un des jeunes mis en examen

Quatre mois après la mort de Thomas, 16 ans, poignardé lors d’un bal de village à Crépol, dans la Drôme, le nom de l’auteur des coups mortels n’est toujours pas connu.

Radio France

Publié le 21/03/2024 07:49 Mis à jour le 21/03/2024 09:49

Temps de lecture : 2 min

Une marche, le 22 novembre 2023 à Romans-sur-Isère, en hommage à Thomas, 16 ans, tué à Crépol. (DAMIEN TRIOMPHE / FRANCE BLEU DR?ME-ARD?CHE)

Quatre mois après la mort de Thomas, 16 ans, poignardé dans la nuit du 18 au 19 novembre lors d’un bal de village à Crépol dans la Drome, les investigations ne parviennent toujours pas à lever le voile sur les circonstances exactes du drame. Après une vague d’interpellations lundi 11 mars, ce sont désormais 14 jeunes qui sont mis en examen dans cette affaire pour homicide volontaire et tentatives d’homicides volontaires, car d’autres personnes ont été gravement blessées ce soir-là.

Cette enquête bénéficie de moyens exceptionnels et les témoins sont très nombreux. Mais justice et gendarmerie peinent à mettre un nom sur l’auteur des coups mortels contre Thomas.

Les gendarmes ont entendu plus de 100 témoins directs et réalisé plus de 200 auditions mais cette matière est difficile à exploiter à cause du niveau de violence, de confusion et d’alcoolisation des témoins au moment des faits, sans compter l’absence d’éclairage et de caméras de vidéosurveillance. Les rares séquences tournées au téléphone portables durant la bagarre ne sont pas déterminantes.

« On a des centaines de gens qui disent des choses à peu près toutes contradictoires les unes avec les autres. On a des témoins choqués, alcoolisés ou partie prenante à l’affaire pour certains et donc il y a une déformation, soit volontaire soit involontaire, soit de bonne foi soit de mauvaise foi », explique Romaric Château, l’avocat d’un des jeunes mis en examen dans cette affaire. « Il y a des contradictions très importantes entre les différentes personnes interrogées, de sorte qu’il n’en ressort pas de version cohérente, certaine, établie. »

L’enquête a dès le départ été soumise à une pression politique et médiatique exceptionnelle. La justice écarte toujours l’idée d’une attaque « anti-blancs », préméditée par des jeunes de cité contre ceux de Crépol. Seuls neuf des 104 témoins évoquent un raid raciste quand la très grande majorité des témoignages confirment que le point de départ de ce drame s’est bien déroulé à l’intérieur de la salle des fêtes, en toute fin de soirée. À l’origine, la moquerie d’un rugbyman sur la coupe de cheveux d’un des jeunes du quartier de la Monnaie, une façon de signifier au groupe qu’il n’était pas le bienvenu ce soir-là.

« Ça dégénère vers la fin, au son de Tchikita, de Jul. C’était la dernière chanson, après ça c’était terminé. Un jeune de la Monnaie se fait un peu ’emmerder’ par un jeune rugbyman, il le prend par les cheveux, le frappe. Ils veulent en découdre, sortent et tout part en vrille, raconte Saléra Benarbia, en charge des faits divers à Romans-sur-Isère pour le Dauphiné Libéré. Ils ont entre 16 et 20 ans, ils peuvent très bien se provoquer entre eux donc tout est possible. »

Quatre mois après les faits et la récupération de l’affaire Crépol par l’extrême droite et une partie de la droite républicaine, l’instruction tourne le dos aux motifs racistes mais ne parvient pas pour autant à préciser le ou les responsables de la mort de Thomas.

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Meurtre de l’île de la Comtesse : l’avocat de la défense estime « que la justice se fourvoie

Véronique Duchesne et Thierry Meunier formaient-ils, à l’automne 2010, un couple uni ou au bord de la rupture ?

Ils faisaient front à des problèmes financiers relativement compliqués. Leur attachement, leur amour n’avaient pas été impactés par la situation.

Les finances du couple étaient catastrophiques. Leur dette atteignait 1,10 M€. N’est-ce pas un élément qui, si l’on se place du côté de l’accusation, aurait pu faire perdre le contrôle à Thierry Meunier ?

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Repas de Pâques mortel à Montigny : l’avocat général requiert une peine de 18 ans de réclusion


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Le procès de Romain Lafon, accusé d’avoir tué son beau-frère en lui portant un coup de couteau en plein cœur le 5 avril 2021 à Montigny se poursuit ce mercredi 20 mars.

Jugé à Niort depuis hier, mardi 19 mars, par la Cour d’assises des Deux-Sèvres, Romain Lafon sera fixé sur son sort aujourd’hui, mercredi 20 mars.
Jugé à Niort depuis hier, mardi 19 mars, par la Cour d’assises des Deux-Sèvres, Romain Lafon sera fixé sur son sort aujourd’hui, mercredi 20 mars. | ILLUSTRATION CO – CHRISTOPHE BERNARD

  • Jugé à Niort depuis hier, mardi 19 mars, par la Cour d’assises des Deux-Sèvres, Romain Lafon sera fixé sur son sort aujourd’hui, mercredi 20 mars.
    Jugé à Niort depuis hier, mardi 19 mars, par la Cour d’assises des Deux-Sèvres, Romain Lafon sera fixé sur son sort aujourd’hui, mercredi 20 mars. | ILLUSTRATION CO – CHRISTOPHE BERNARD

Le 5 avril 2021, à Montigny, commune associée à La Forêt-sur-Sèvre, en plein repas de Pâques, Romain Lafon, 27 ans en mai prochain, a commis l’irréparable. Couteau à la main, il frappe son beau-frère, l’atteint en plein cœur.  On peut encore se demander pourquoi la victime, Ahamadi Nchindra, a trouvé la mort. Il n’y avait pas de contentieux entre M. Nchindra et M. Lafon. Le premier a juste voulu prendre la défense de sa femme et de son…

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