« Personne n’aime poursuivre les fans », l’ancien avocat de Pokémon explique le comportement de Nintendo

News jeu « Personne n’aime poursuivre les fans », l’ancien avocat de Pokémon explique le comportement de Nintendo

Publié le 20/03/2024 à 05:35

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L’ancien avocat de The Pokemon Company, Microsoft, et Bungie, a expliqué à la presse pourquoi la firme japonaise s’en prend aux jeux de ses fans. Autant dire que ce n’est pas pour rien !

Lors d’une interview accordée à Aftermath, l’ancien avocat en chef de The Pokemon Company, Don McGowan, explique pourquoi l’entreprise faisait systématiquement retirer les fan games créés par la communauté.

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Des décisions magnanimes

Don McGowan, ancien avocat en chef de The Pokemon Company, affirme qu’à l’époque où il travaillait pour eux, le géant ne cherchait pas activement à supprimer les projets de fans. Ils ne passait à l’offensive que “lorsqu’ils franchissaient une certaine ligne”. L’avocat indique également que l’entreprise n’envoie pas de demande de retrait tout de suite. Elle vérifie d’abord si le projet est financé par un Kickstarter ou un organisme similaire. “S’ils sont financés, c’est à ce moment-là que vous engagez”. En effet, l’entreprise ne voudrait pas voir ses fans payer pour des projets qu’ils n’approuvent potentiellement pas.

La pire chose qui puisse arriver à votre projet de fan, c’est qu’il soit diffusé dans la presse, car maintenant je suis au courant. – Don McGowan (Aftermath)

Mc Gowan déclare que l’équipe juridique de The Pokemon Company ne tombait sur un projet de fan que lorsque celui-ci était évoqué dans la presse. “J’étais assis à mon bureau quand quelqu’un m’envoyait l’article, ou que je le trouvais par moi-même”. Il précise alors enseigner à ses étudiants à l’université que, le relais de la presse, est sans doute, la pire chose qui puisse arriver aux projets de fans.

"Personne n'aime poursuivre les fans", l'ancien avocat de Pokémon explique le comportement de Nintendo

Quelques contradictions

Malgré ces déclarations, il est important de rappeler que de nombreux projets liés à pokémon ont été mis hors-ligne par la firme nipponne. On pense par exemple à Pokémon Uranium, qui avait reçu le soutien de l’entreprise avant de se retirer, après neuf ans de développement. En 2022, The Pokemon Company avait déjà fait supprimer des vidéos d’un FPS ayant pour but de chasser les créatures de poche, et qui avaient envahi la toile.

Enfin, même s’il ne s’agit pas d’un projet de fan, le cas Palworld a beaucoup fait parler de lui. Constamment comparé à Pokémon, l’entreprise japonaise déclarait enquêter à ce sujet. Finalement, aucun envoi devant la justice ne sera pourvu envers le titre de Pocket Pair. Néanmoins, The Pokemon Company a tout de même fait supprimer un mod du jeu qui remplaçait les textures originales par leurs propriétés intellectuelles, cependant le créateur du mod faisait payer pour son contenu.


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Procès Encro – L’avocat de Sara B., gérante présumée d’une société-écran, plaide l’acquittement

Sara B. avait reconnu devant les enquêteurs avoir signé des documents présentés par son aîné, en néerlandais, « une langue qu’elle ne connait pas », a affirmé la défense. Selon son avocat, elle a manqué de prudence parce qu’elle faisait totalement confiance à son frère, Anwar B.

Pour le parquet fédéral, ce dernier est membre d’une organisation criminelle active dans un trafic de cocaïne. Le trentenaire est poursuivi pour plusieurs infractions liées à ce réseau, comme le recel de documents tirés de bases de données policières, des faux en écriture pour placer des hommes de paille à la tête de sociétés-écrans, etc.

Sara B. aurait, elle, servi de prête-nom à la société SRL D&S Company, dont elle a été l’administratrice. Toutefois, selon la défense, cette entreprise n’était pas une « société paravent » comme présentée par l’accusation. « Cette sandwicherie occupait l’immeuble déclaré et l’exploitait pour vendre des produits d’alimentation. » Quand la SRL D&S Company est devenue une société de transports, Sara B. n’a plus été son administratrice.

« Rien ne prouve que Sara B. était au courant des activités prétendument infractionnelles d’Anwar B. », a assuré son avocat.

Par ailleurs, la prévenue avait certes convenu en auditions connaître un certain « Monsieur M. ». Cependant, elle faisait alors référence à son médecin traitant et non à Eridan M.G., l’un des dirigeants présumés de l’organisation criminelle, a insisté son avocat.

Le 7 février dernier, le ministère public avait requis 15 mois de prison, une amende de 500 euros et une interdiction de gestion de société pendant cinq ans à l’encontre de Sara B.

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Assassinat de Sarah, 11 ans, noyée dans le Rhône par son père : « Le mobile, c’est la vengeance » requiert l’avocat général à Nîmes

Sergio Gil-Gonzales, 42 ans, a fait appel de sa condamnation en première instance par la cour d’assises du Vaucluse, pour ce crime terrible, commis pour faire souffrir la mère de l’enfant, qui avait définitivement rompu leur relation conjugale. Verdict en fin de journée.

« Le mobile, c’est la vengeance. Sarah sera l’instrument de sa vengeance » insiste ce mardi 19 mars devant la cour d’assises du Gard l’avocat général Dominique Sié, qui requiert une nouvelle fois la réclusion criminelle à perpétuité contre Sergio Gil-Gonzales, déjà condamné en première instance pour avoir tué sa fille de 11 ans en la noyant dans le Rhône, le 18 juillet 2020, à Avignon.

Le magistrat rappelle tous les éléments du dossier qui démontrent qu’il a volontairement donné la mort à sa fille, de façon préméditée, par dépit ou par cruauté, après avoir compris qu’Hélène, la mère de l’enfant, n’allait jamais reprendre la vie commune.

« Une immense souffrance et aucune haine »

« Tout au long de ces trois jours, j’ai entendu une immense souffrance et aucune haine » relève l’avocat général en se tournant vers le visage dévasté d’Hélène, qui pleure en silence sur son banc. « Les paroles de Sergio Gil-Gonzales, c’est des mensonges, et de la perversité. À partir du 22 juillet 2020 où il est placé en garde à vue, jusqu’à aujourd’hui, il n’a cessé de mentir. Je parle de perversité au sens commun, le goût du mal par des moyens détournés. C’est vous Mme Reyes qui en êtes la première des cibles. Quand il vous dit ce n’est pas de votre faute, mais ça veut dire le contraire. Il dit que vous en êtes la responsable. Vous n’êtes responsable de rien. Il n’y a qu’un seul coupable. Un seul. C’est un phénomène d’emprise, de chosification. Le mobile, c’est la vengeance. Sarah sera l’instrument de sa vengeance. »

Réclusion criminelle à perpétuité et 22 ans de sûreté

« Écoutez Sarah, elle vous parle encore, à travers sa mère, les photos que vous avez eues, les expertises. Moi, Sarah, 11 ans, j’aurai éternellement 11 ans, parce que j’ai été assassiné par celui-là même qui était censé me protéger. Parce que mon père ne me voit pas en tant que fille en dehors de ma mère. Sans ma mère, moi, Sarah, je n’avais plus aucune raison d’exister. »

Il se tourne vers l’accusé : « Qui vous dit qu’elle n’a pas souffert ? Elle est morte et cela scelle la souffrance de tout le monde pour l’éternité. Je comprends, Madame, que vous ayez peur pour l’avenir, et c’est la raison de mes réquisitions ». Réclusion criminelle à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté, « et parce qu’il n’a aucune attache en France, il est indispensable de prononcer une interdiction définitive de ce pays sur lequel il crache. »

Lourde tâche pour la défense

Me Alexandre Leizé a la lourde tâche de défendre l'accusé.
Me Alexandre Leizé a la lourde tâche de défendre l’accusé. MIDI LIBRE – François Barrère

En défense, Me Alexandre Leizé a la très difficile tâche de défendre cet accusé que tout accable.

« Par son comportement à l’audience il essaie de se détourner un peu du sujet principal. Ce n’est pas évident d’être face à cette famille et à cet acte » explique l’avocat, qui conteste la préméditation, et qui rappelle le mécanisme de son passage à l’acte. Ce SMS où Hélène lui répond « NON », dix fois, à sa demande d’hébergement.-

« C’est à ce moment là précis, lui qui était dans le déni, qui avait fait des efforts pour arrêter l’alcool, c’est à ce momentlà que la réalité le frappe.On est face à quelqu’un qui a une personnalité particulière. Qui n’arrive pas à comprendre et à réfléchir ses émotions, qui a toujours eu peur de l’abandon. C’est cette charge d’anxiété qu’il n’arrive pas à gérer. »

« Cela fait 20 ans qu’il est alcoolique. Deux heures après les faits il était au téléphone avec un gendarme qui vous dit qu’il était dans un état déplorable. »

Pour l’avocat de la défense, « Il reste un doute sur la préméditation, et ce doute doit lui profiter ». Reste la question de la peine. « Il faut prendre en compte les raisons de son passage à l’acte, et aller au-delà de vos émotions. Evidemment qu’il passera une partie de sa vie en prison » insiste l’avocat, en rappelant la très violente agression filmée dont il a été victime à la prison du Pontet, et qui a valu des peines de 2 à 5 ans de prison aux trois détenus agresseurs.

« Quelle que soit la prison où il ira, il est l’Espagnol tueur d’enfant. Cela le suivra à vie. La perpétuité, c’est une peine de mort sociale qui ne laisse aucun espoir. La perpétuité, c’est refuser qu’un coupable puisse s’amender ».

Un second procès pour faire plus de mal ?

« Ce procès en appel a permis à la souffrance de perdurer, de continuer, de faire un peu plus de mal. Je n’imaginais pas au début de cette audience qu’on pouvait trouver une gradation supplémentaire dans la douleur d’Hélène » avait auparavant souligné Me Marc Geiger, l’avocat d’Hélène, partie civile.

Et l’avocat rappelle que « Sarah a 11 ans est encore éperdue de confiance vis-à-vis de son père. Comment l’enfant peut-il mentaliser que celui qui lui a donné la vie peut être l’artisan de sa mort ? »

« Mourir à 11 ans, c’est ne pas connaître la vie. Elle ne connaîtra pas l’amour, elle ne saura jamais ce que c’est que d’être femme, d’être mère. Sa vie s’est arrêtée dans l’eau saumâtre du Rhône parce que son père en a décidé ainsi. »

Un féminicide par procuration

« Hélène a été victime d’un féminicide par procuration. En assassinat Sarah, il a tué les deux, la fille et la mère. Je forme le vœu que vous puissiez écrire le mot fin sur cet épisode judiciaire qui a duré si longtemps et que vous puissiez apporter un peu de paix à cette famille et à cette maman qui a tant souffert ».

En milieu de matinée, Me François-Xavier Kozan, partie civile pour l’association Enfance en dangereux, est le premier à prendre la parole. « Quelles que soient nos histoires personnelles, nos croyances, nous serons tous d’accord pour dire que quand on tue un enfant, c’est le diable qui murmure. J’aurai aimé que l’institution n’ait jamais été contrainte d’organiser le procès d‘un homme qui a de manière réfléchie et préparée méthodiquement donné la mort à celle que l’on a décrite comme un soleil, et qu’il avait pour mission de protéger. »

« Il n’a eu à mon sens aucune parole respectueuse pour Sarah. Je pense qu’il n’a jamais prononcé dans le temps de cette audience le prénom de Sarah. Il n’a jamais parlé que de ma fille » ajoute l’avocat.

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Assassinat de Sarah, 11 ans, noyée dans le Rhône par son père : « Le mobile, c’est la vengeance » insiste l’avocat général à Nîmes

Sergio Gil-Gonzales, 42 ans, a fait appel de sa condamnation en première instance par la cour d’assises du Vaucluse, pour ce crime terrible, commis pour faire souffrir la mère de l’enfant, qui avait définitivement rompu leur relation conjugale. Verdict en fin de journée.

« Le mobile, c’est la vengeance. Sarah sera l’instrument de sa vengeance » insiste ce mardi 19 mars devant la cour d’assises du Gard l’avocat général Dominique Sié, qui requiert une nouvelle fois la réclusion criminelle à perpétuité contre Sergio Gil-Gonzales, déjà condamné en première instance pour avoir tué sa fille de 11 ans en la noyant dans le Rhône, le 18 juillet 2020, à Avignon.

Le magistrat rappelle tous les éléments du dossier qui démontrent qu’il a volontairement donné la mort à sa fille, de façon préméditée, par dépit ou par cruauté, après avoir compris qu’Hélène, la mère de l’enfant, n’allait jamais reprendre la vie commune.

« Une immense souffrance et aucune haine »

« Tout au long de ces trois jours, j’ai entendu une immense souffrance et aucune haine » relève l’avocat général en se tournant vers le visage dévasté d’Hélène, qui pleure en silence sur son banc. « Les paroles de Sergio Gil-Gonzales, c’est des mensonges, et de la perversité. À partir du 22 juillet 2020 où il est placé en garde à vue, jusqu’à aujourd’hui, il n’a cessé de mentir. Je parle de perversité au sens commun, le goût du mal par des moyens détournés. C’est vous Mme Reyes qui en êtes la première des cibles. Quand il vous dit ce n’est pas de votre faute, mais ça veut dire le contraire. Il dit que vous en êtes la responsable. Vous n’êtes responsable de rien. Il n’y a qu’un seul coupable. Un seul. C’est un phénomène d’emprise, de chosification. Le mobile, c’est la vengeance. Sarah sera l’instrument de sa vengeance. »

Réclusion criminelle à perpétuité et 22 ans de sûreté

« Écoutez Sarah, elle vous parle encore, à travers sa mère, les photos que vous avez eues, les expertises. Moi, Sarah, 11 ans, j’aurai éternellement 11 ans, parce que j’ai été assassiné par celui-là même qui était censé me protéger. Parce que mon père ne me voit pas en tant que fille en dehors de ma mère. Sans ma mère, moi, Sarah, je n’avais plus aucune raison d’exister. »

Il se tourne vers l’accusé : « Qui vous dit qu’elle n’a pas souffert ? Elle est morte et cela scelle la souffrance de tout le monde pour l’éternité. Je comprends, Madame, que vous ayez peur pour l’avenir, et c’est la raison de mes réquisitions ». Réclusion criminelle à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté, « et parce qu’il n’a aucune attache en France, il est indispensable de prononcer une interdiction définitive de ce pays sur lequel il crache. »

Lourde tâche pour la défense

Me Alexandre Leizé a la lourde tâche de défendre l'accusé.
Me Alexandre Leizé a la lourde tâche de défendre l’accusé. MIDI LIBRE – François Barrère

En défense, Me Alexandre Leizé a la très difficile tâche de défendre cet accusé que tout accable.

« Par son comportement à l’audience il essaie de se détourner un peu du sujet principal. Ce n’est pas évident d’être face à cette famille et à cet acte » explique l’avocat, qui conteste la préméditation, et qui rappelle le mécanisme de son passage à l’acte. Ce SMS où Hélène lui répond « NON », dix fois, à sa demande d’hébergement.-

« C’est à ce moment là précis, lui qui était dans le déni, qui avait fait des efforts pour arrêter l’alcool, c’est à ce momentlà que la réalité le frappe.On est face à quelqu’un qui a une personnalité particulière. Qui n’arrive pas à comprendre et à réfléchir ses émotions, qui a toujours eu peur de l’abandon. C’est cette charge d’anxiété qu’il n’arrive pas à gérer. »

« Cela fait 20 ans qu’il est alcoolique. Deux heures après les faits il était au téléphone avec un gendarme qui vous dit qu’il était dans un état déplorable. »

Pour l’avocat de la défense, « Il reste un doute sur la préméditation, et ce doute doit lui profiter ». Reste la question de la peine. « Il faut prendre en compte les raisons de son passage à l’acte, et aller au-delà de vos émotions. Evidemment qu’il passera une partie de sa vie en prison » insiste l’avocat, en rappelant la très violente agression filmée dont il a été victime à la prison du Pontet, et qui a valu des peines de 2 à 5 ans de prison aux trois détenus agresseurs.

« Quelle que soit la prison où il ira, il est l’Espagnol tueur d’enfant. Cela le suivra à vie. La perpétuité, c’est une peine de mort sociale qui ne laisse aucun espoir. La perpétuité, c’est refuser qu’un coupable puisse s’amender ».

Un second procès pour faire plus de mal ?

« Ce procès en appel a permis à la souffrance de perdurer, de continuer, de faire un peu plus de mal. Je n’imaginais pas au début de cette audience qu’on pouvait trouver une gradation supplémentaire dans la douleur d’Hélène » avait auparavant souligné Me Marc Geiger, l’avocat d’Hélène, partie civile.

Et l’avocat rappelle que « Sarah a 11 ans est encore éperdue de confiance vis-à-vis de son père. Comment l’enfant peut-il mentaliser que celui qui lui a donné la vie peut être l’artisan de sa mort ? »

« Mourir à 11 ans, c’est ne pas connaître la vie. Elle ne connaîtra pas l’amour, elle ne saura jamais ce que c’est que d’être femme, d’être mère. Sa vie s’est arrêtée dans l’eau saumâtre du Rhône parce que son père en a décidé ainsi. »

Un féminicide par procuration

« Hélène a été victime d’un féminicide par procuration. En assassinat Sarah, il a tué les deux, la fille et la mère. Je forme le vœu que vous puissiez écrire le mot fin sur cet épisode judiciaire qui a duré si longtemps et que vous puissiez apporter un peu de paix à cette famille et à cette maman qui a tant souffert ».

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Mort de Wanys: « Le passager indique qu’il a entendu les policiers dire ‘on les a eus, bien joué' » selon son avocat

A La Courneuve, en Seine-Saint-Denis, la nuit dernière a été calme après la violente attaque du commissariat dimanche soir. Des violences en lien avec la mort du jeune Wanys, mercredi dernier, lors d’une course poursuite avec la police. Sa famille a porté plainte mais pour l’heure, c’est la thèse de l’accident qui est privilégiée.

Nuit calme à La Courneuve, en Seine-Saint-Denis. Des forces de l’ordre ont été positionnées près du commissariat de la ville après l’attaque de dimanche soir. Des violences en réaction à la mort de Wanys mercredi dernier.

Ce jeune homme de 18 ans, originaire de La Courneuve, a été percuté mortellement à Aubervilliers par un véhicule de police lors d’une course-poursuite. Sa famille a déposé plainte avec constitution de partie civile pour violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort.

Pour la famille de Wanys, la mort du jeune homme n’est pas un accident. La voiture de police qui a percuté son scooter, alors qu’il était poursuivi par un autre véhicule de police, l’a fait en connaissance de cause selon elle.

La piste accidentelle privilégiée

Me Yassine Bouzrou s’appuie sur la vidéo et le témoignage du passager arrière du scooter, lui même grièvement blessé, pour affirmer qu’il s’agit de violences volontaires.

“A ce stade, moi, ce qui m’intéresse, c’est qu’un véhicule a décidé de changer de voie, a décidé de percuter volontairement un scooter en sens interdit. Et le passager, qui est également mon client, indique qu’il a entendu les policiers dire ‘on les a eus, bien joué’ juste après la collision, ce qui vient corroborer le caractère volontaire de l’action des policiers”, assure-t-il.

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Ce témoin, également mis en cause pour complicité de refus d’obtempérer, n’a pas encore été entendu par l’IGPN. Le parquet de Bobigny, qui a ouvert une enquête pour homicide involontaire, privilégie la piste accidentelle en s’appuyant notamment sur les auditions des trois policiers impliqués, qui disent avoir tenté d’éviter un autre véhicule.

Marion Dubreuil avec Guillaume Descours

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Mort de Federico Martín Aramburu : « Ce cauchemar hante tous ceux qui aiment Fede » selon l’avocat d’Hegarty

Deux ans après la mort du rugbyman argentin Federico Martín Aramburu, ancien du Biarritz Olympique, un hommage sera rendu par la famille de l’ex-joueur sur les lieux du drame à Paris. L’instruction est encore en cours, et les parties civiles espèrent la tenue d’un procès d’ici l’été 2025.

Un hommage sera rendu ce lundi à Paris boulevard Saint-Germain, à l’endroit où Federico Martin Aramburu a été tué de plusieurs coups de feu le 19 mars 2022. Sa famille et ses proches organisent un temps de recueillement, en l’honneur de l’ancien rugbyman biarrot explique sur France Bleu Pays Basque Maître Christophe Cariou-Martin, représentant de Shaun Hegarty qui était aux côtés de Federico ce soir-là : « Je pense qu’il y a beaucoup de gens qui sont tristes (….) mais aujourd’hui, n’est pas un jour triste. Fede, c’était la joie, c’était l’amour. Il faut continuer à penser à lui de cette manière« .

La vie d’après encore difficile pour Shaun Hegarty

Maître Christophe Cariou-Martin est ainsi revenu sur la vie de son client Shaun Hegarty depuis le drame : « Ce cauchemar hante les proches de Federico (…) Il est comme tous les gens touchés par ce drame. Il continue à se battre tous les jours pour retrouver une vie avec des projets, avec une construction personnelle, familiale, amicale. La reconstruction prend du temps. Elle se fait par étapes« .

La question de la préméditation au cœur de l’instruction

Selon l’avocat, l’instruction est toujours en cours, et touche à sa fin « avec des auditions peut-être encore« , mais un procès pourrait se dérouler d’ici l’été 2025 selon Maître Christophe Cariou-Martin. Les deux accusés Loic Le Priol et Romain Bouvier, mis en examen pour assassinat, nient avoir prémédité les faits, et assurent par la voix de leurs avocats qu’il s’agit d’une banale bagarre entre ivrognes qui a mal tourné. Une thèse balayée par l’avocat de Shaun Hegarty pour qui « il n’y a pas d’action sans intention« .

En effet, pour l’avocat, il est essentiel de rappeler le passé et la parcours « politique » des accusés, deux hommes qui évoluent dans la sphère ultra-droite : « On ne peut pas sortir la personnalité des auteurs et dire que c’était une brouille au petit matin. La brouille a lieu au Mabillon. Une fois que la bagarre du Mabillon s’éteint, tout le monde repart. Shaun et Fede repartent à leur hôtel, les serveurs du Mabillon repartent à leur activité. Tout est terminé. Ça, c’est une brouille au petit matin. (…) Même si c’est de la violence, c’est une violence maîtrisée. Moi, je me interroge sur le moteur qui est derrière, sur le moteur qui pousse les deux accusés à repartir. Ça, c’est la véritable question. Ce qu’ils sont conditionne nécessairement leur décision« .

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L’avocat de la soeur de Xavier Dupont de Ligonnès reconnaît que sa cliente « est dans un déni »

« Elle s’engouffre, et je ne peux pas lui dire qu’elle a tort ». Stéphane Goldenstein, avocat de Christine Dupont de Ligonnès, a pris la parole ce lundi 18 mars après son interview sur BFMTV.

La soeur de Xavier Dupont de Ligonnès, qui a disparu depuis avril 2011, a livré sa thèse sur l’affaire pour laquelle son frère est soupçonné d’avoir tué sa femme Agnès et leurs quatre enfants.

« C’est difficile de la croire »

Christine Dupont de Ligonnès – qui a coécrit avec son mari le livre Xavier, mon frère présumé innocent – affirme pourtant « penser » que Xavier Dupont de Ligonnès « est vivant quelque part avec Agnès et les enfants ». D’après elle, son frère a été exfiltré avec sa famille aux États-Unis, pays pour lequel il travaillait en secret.

« La version officielle ne tient pas debout au vu des éléments que nous avons », déclare-t-elle.

« Personne ne veut la croire, personne ne veut la suivre ou très peu de gens. C’est difficile de la croire lorsqu’elle conteste des vérités scientifiques tirées de l’ADN et des corps, et de l’existence des corps même. Où a-t-on pu trouver cinq corps de remplacement? », confie son avocat sur notre antenne.

« Cette femme adore son frère »

Me Stéphane Goldenstein dit pourtant « expliquer en long en large et en travers » à sa cliente: « et où est le fameux procès où il est doit témoigner en tant qu’agent infiltré? Il n’existe pas. »

« C’est très compliqué pour moi sauf que concomittamment elle regarde le fond du dossier et dis ‘là ça va pas, là c’est normal maître?' », poursuit l’avocat sur BFMTV, « elle est persuadée que son frère n’a pas pu faire ça »

Stéphane Goldenstein dit être « confronté à cette difficulté de dire » à Christine Dupont de Ligonnès « que c’est certainement les mesures à l’autopsie qui ont été mal prises, c’est certainement les poils qui ont été mal pris… »

Une chose est toutefois « certaine » pour l’avocat: « cette femme adore son frère, a un total respect pour son frère et beaucoup de gens aimeraient avoir une soeur qui les défendent de cette manière-là. Dans le livre il y a une grosse partie familiale où elle raconte son frère, son grand frère protecteur et qui explique qu’elle est dans ce déni ».

De son côté, la famille d’Agnès de Ligonnès a fait exprimer « les plus expresses réserves sur les déclarations de Christine de Ligonnès et de son époux, notamment dans la mesure où l’information judiciaire est toujours en cours ».

Article original publié sur BFMTV.com

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PSG ‍: Stéphane Guy est le nouvel avocat de Mbappé

Ces dernières semaines, Luis Enrique a été attaqué pour sa gestion du cas Kylian Mbappé. Dimanche soir, la star du PSG a encore prouvé qu’il était indispensable et que Paris se portait bien mieux avec lui.

Régulièrement placé sur le banc des remplaçants au cours des dernières semaines, Kylian Mbappé a enchainé deux titularisations de suite face à Nice en Coupe de France puis contre Montpellier, ce dimanche soir en Ligue 1. Auteur d’un triplé, le capitaine du Paris Saint-Germain a guidé son équipe vers la victoire en débloquant la situation à 0-0 puis en redonnant l’avantage aux siens à 2-2. Sur l’antenne de RMC, Stéphane Guy a estimé que même face à une modeste équipe de Montpellier, le PSG ne pouvait pas se passer de Kylian Mbappé dans la mesure où les matchs récents ont prouvé que l’équipe de Luis Enrique n’avait aucune marge en l’absence de l’ancien Monégasque.

Dès lors, le coach espagnol serait bien inspiré d’aligner « KM7 » de manière systématique jusqu’à la fin de la saison aux yeux de l’ancien commentateur de Canal +. « Ce que je retiens de ce match, c’est le triplé de Kylian Mbappé. Son premier but est juste phénoménal. Pied gauche côté opposé pour mettre l’équipe sur la voie du succès. Tous ces débats autour de Luis Enrique m’amusent car même face à Montpellier, heureusement qu’il y a Mbappé pour arranger l’affaire. Comme par hasard, le PSG regagne en Ligue 1 quand Mbappé fait 90 minutes » estime le journaliste, avant de poursuivre.

Stéphane Guy milite pour que Mbappé joue tout le temps

« Faire des débats sur son utilisation, c’est grotesque enfaite. On peut faire des débats à la con si on veut, à savoir s’il faut faire reposer Mbappé mais est-ce que Klopp fait reposer Mohamed Salah quand il joue tous les trois jours ? Bah non, il le met, ce sont des débats tellement grotesques. Quand le PSG est à 0-0, qui débloque le match ? Mbappé. Quand le PSG est à 2-2, qui débloque ? Mbappé. C’est ça la vérité de Paris. Même pour un match à Montpellier, celui qui débloque c’est Mbappé et s’il n’est pas là, c’est compliqué » a analysé Stéphane Guy, qui espère que Luis Enrique va arrêter de gérer Kylian Mbappé comme il le fait depuis quelques semaines et que celui qu’il a surnommé il y a quelques années le « genie français » sera systématiquement aligné. Pour le bien du PSG… et du spectacle.  

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Procès du « violeur de Tinder » : selon un avocat spécialisé en droit du numérique, les applications « n’ont pas fait leur travail »

Publié le 18/03/2024 17:15 Mis à jour le 18/03/2024 17:29

Durée de la vidéo : 6 min

Procès du "violeur de Tinder" : selon un avocat spécialisé en droit du numérique, les applications "n’ont pas fait leur travail"
Procès du « violeur de Tinder » : selon un avocat spécialisé en droit du numérique, les applications « n’ont pas fait leur travail » Procès du « violeur de Tinder » : selon un avocat spécialisé en droit du numérique, les applications « n’ont pas fait leur travail » (franceinfo)

Alexandre Lazarègue, avocat spécialisé en droit du numérique et des médias, est l’invité du 12/13 info, lundi 18 mars. Il s’exprime dans le cadre du procès du « violeur de Tinder », actuellement en cours.

Le procès du « violeur de Tinder » s’est ouvert lundi 18 mars. Dix-sept femmes se trouvent face à l’accusé. Elles avaient alerté entre 2014 et 2016, sans que rien n’ait été fait. « Incontestablement [les applications] n’ont pas fait leur travail au sens de la loi, puisque la loi les oblige à tirer les conséquences d’une notification. Lorsque vous alertez une plateforme, comme un site de rencontres, (…) vous avez l’obligation de mener des investigations, pour voir si les messages, les profils ne sont pas illicites et, le cas échéant, les supprimer », détaille Alexandre Lazarègue, avocat spécialisé en droit du numérique et des médias. 

Les femmes qui font part de leur intention de porter plainte contre l’application sont-elles donc dans leur droit ? « C’est la nature de l’infraction qui doit être recherchée », répond Alexandre Lazarègue. « Les choses vont être délicates. La plateforme aura intérêt à démontrer, et en réalité c’est le cas, qu’elle n’avait pas l’intention de donner les moyens à un ‘violeur’ – simplement en voie d’être jugé et [qui] n’a pas été condamné pour cela – de commettre tel ou tel délit », clarifie l’avocat, qui ajoute que la responsabilité de la plateforme « reste toutefois limitée »

« Il y a eu un manquement à la loi, mais je dirais que c’est simplement en tant qu’hébergeur », conclut-il à ce sujet. 

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Un avocat toulousain mobilisé pour que les Covid longs soient reconnus comme des Affections Longue Durée

Julien Brel, avocat toulousain, souffre d’un Covid long depuis 18 mois. Un parcours long, sinueux, et pas toujours bien pris en charge.

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Quelle prise en charge pour les malades atteints de Covid long ? Le 15 mars est désormais la journée Internationale de sensibilisation à cette pathologie. Un mal qui touche, plus ou moins sévèrement, deux millions de Français selon les chiffres de Santé Publique France. Les symptômes peuvent être très invalidants : perte musculaire, difficultés respiratoires ou immense fatigue qui rend impossible les efforts physiques. Julien Brel, avocat toulousain, est atteint d’un Covid long depuis 18 mois.  Il se bat pour faire connaitre cette maladie et qu’elle soit enfin considérée comme une Affection Longue Durée.

Son interview vidéo est à retrouver ci-dessus.

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