Absurde » : Le procureur général des États-Unis se défend de ne pas avoir censuré l’avocat spécial sur la mémoire de Joe Biden

Le procureur général des États-Unis, Merrick Garland, s’est défendu jeudi contre les critiques de la Maison Blanche et des démocrates selon lesquelles il aurait dû empêcher un avocat spécial de parler de la mémoire du président Joe Biden dans un rapport sur la gestion de documents classifiés par le président.

L’avocat spécial Robert Hur a écrit que Joe Biden, 81 ans, pourrait apparaître à un jury comme un « homme âgé, bien intentionné et doté d’une mauvaise mémoire » dans un rapport publié le mois dernier, qui expliquait la décision de ne pas engager de poursuites contre lui pour avoir conservé des documents classifiés après avoir quitté la vice-présidence.

« L’idée qu’un procureur général puisse éditer, caviarder ou censurer l’explication de l’avocat spécial sur les raisons pour lesquelles il a pris la décision qu’il a prise est absurde », a déclaré M. Garland lors d’une conférence de presse sur le procès antitrust intenté par le ministère de la justice à l’encontre d’Apple.

M. Garland a refusé de dire s’il pensait que M. Hur aurait dû inclure une évaluation de la mémoire de M. Biden, mais il a rappelé qu’il s’était engagé à rendre publics tous les rapports des conseillers spéciaux au cours de son mandat.

M. Hur a trouvé des preuves que M. Biden avait volontairement conservé des dossiers gouvernementaux sensibles après la fin de ses huit années de vice-présidence en 2017, mais il a décidé de ne pas porter d’accusations.

Le rapport a déclenché une tempête politique, car il touche à une préoccupation centrale des électeurs concernant la mémoire du président, alors que M. Biden cherche à se faire réélire. La Maison-Blanche et les parlementaires démocrates ont dénoncé le fait que ce rapport était inapproprié de la part d’un procureur qui a refusé de porter des accusations criminelles.

La Maison-Blanche a refusé de commenter les remarques de M. Garland.

Donald Trump, le candidat républicain qui défie M. Biden lors des élections américaines du 5 novembre, a critiqué le ministère de la justice pour ne pas avoir inculpé M. Biden au sujet de ces documents.

M. Trump fait l’objet d’une inculpation fédérale de la part d’un autre avocat spécial pour avoir conservé des documents classifiés, dont certains portant sur des questions sensibles de sécurité nationale, après avoir quitté ses fonctions en 2021. M. Hur a noté que M. Trump a refusé de les remettre, alors que M. Biden a coopéré avec les enquêteurs.

M. Garland a nommé M. Hur l’année dernière pour mener une enquête après la découverte de documents classifiés au domicile de M. Biden dans le Delaware et dans un ancien bureau à Washington. Les conseillers spéciaux, qui sont nommés pour donner aux enquêtes sensibles un certain degré d’indépendance par rapport à la direction du ministère de la justice, publient généralement un rapport sur leurs conclusions.

Interrogé sur la réaction de la Maison-Blanche, M. Garland a rappelé que lorsque M. Biden l’a nommé ministre de la justice, le président s’est engagé à préserver l’indépendance du ministère de la justice et a déclaré que le ministre de la justice ne devait pas être « l’avocat du président ».

« Je crois sincèrement que c’est ce qu’il voulait à l’époque, et je crois sincèrement que c’est ce qu’il veut aujourd’hui », a déclaré M. Garland.

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« Je ne vous défendrai pas contre votre volonté. » : l’avocat d’un assassin explique pourquoi il a plaidé la perpétuité

l’essentiel Du 11 au 13 mars s’est tenu le procès d’Hichame Bahloul, condamné à perpétuité par les jurés de la cour d’assises. Ce dernier avait reconnu les faits, mais la singularité de ce procès se niche dans la volonté du client de Me Verdier. En effet, il souhaitait être condamné à la prison à vie, poussant l’avocat à une plaidoirie, unique en son genre.

La cour d’assises est circonspecte. Plusieurs jours après le verdict, ses confrères échangeaient encore à propos de cette plaidoirie, unique en son genre. Me Verdier, avocat de la défense, a plaidé la perpétuité pour son client, Hichame Bahloul, dans l’affaire de l’assassinat d’une ressortissante britannique.

Une peine supérieure à la réquisition de l’avocate générale, qui avait requis 30 ans. « Une première en 27 ans de carrière », assure François Verdier, avocat à Marmande. Le quinquagénaire remonte le fil de cette affaire extraordinaire :  » Au départ, M. Bahloul ne veut pas d’avocat. Je l’avais assisté quelques jours auparavant pour un incendie dans un photomaton. La famille me contacte pour cela, j’étais à Agen, je décide d’aller à sa rencontre. »

Elle a lieu au moment de son défèrement. « Je lui demande pourquoi il ne veut pas d’avocat et me rétorque qu’il ne veut pas que celui-ci le force à plaider non-coupable », rembobine l’avocat. Très rapidement, il le rassure : « Je ne vous défendrai pas contre votre volonté. »

« Il m’a toujours soutenu vouloir être en prison »

Dès leur deuxième rencontre et jusqu’aux dernières secondes du procès, son client lui répétera inlassablement la même chose : « Je veux finir ma vie en prison. » « J’ai eu du mal à m’y faire, il faut l’admettre, c’est impensable. Après, en apprenant à connaître sa personnalité, j’ai compris », admet François Verdier.

« L’enfer de l’un est le paradis de l’autre », image l’avocat. Une détermination sans faille que l’homme de droit a bien voulu vérifier : « Je lui demandais toujours si c’était sa volonté, jusqu’à la fin, il a gardé le cap. » Alors, plus d’autres solutions pour le procès qui approche. « Pour ma plaidoirie, je trouve la citation de Badinter*, elle me permet, d’avoir deux voies possibles, au cas où il change d’avis », confie Me Verdier.

« Merci Me, je suis très content »

Hichame Bahloul ne bougera pas d’un iota. « Je n’ai pas écrit ma plaidoirie, j’avais un plan en tête, accrocher les jurés puis revenir sur les faits, mes options et soulever ce qui n’est pas apparu dans les débats. Les jurés n’ont pas accès au dossier. Enfin, je dois endosser le rôle du procureur et l’enfoncer pour espérer réussir mon coup. »

Chose réussie, son client obtient la perpétuité. « Ce n’était pas gagné, il y avait altération de son jugement, d’où ces réquisitions », confie Me Verdier. Après avoir surpris l’assemblée, le verdict tombe. Son client lui glissera avant de rejoindre la prison : « Merci, je suis très content. »

* »La défense c’est ne jamais céder un pouce de terrain à l’adversaire, ne jamais rien tenir pour acquis à l’accusation. C’est refuser même d’admettre l’évidence. Parce que personne, jamais, n’est coupable de rien, même pas du crime qui vient d’être commis avec le cadavre encore chaud et le revolver dans la main du meurtrier. Même s’il avoue ton bonhomme, même s’il veut qu’on le condamne, pour toi, avocat, il n’est pas coupable » NDLR.

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Mort de Thomas à Crépol : malgré plus de 200 auditions, « il n’en ressort pas de version cohérente », selon l’avocat d’un des jeunes mis en examen

Quatre mois après la mort de Thomas, 16 ans, poignardé lors d’un bal de village à Crépol, dans la Drôme, le nom de l’auteur des coups mortels n’est toujours pas connu.

Radio France

Publié le 21/03/2024 07:49 Mis à jour le 21/03/2024 09:49

Temps de lecture : 2 min

Une marche, le 22 novembre 2023 à Romans-sur-Isère, en hommage à Thomas, 16 ans, tué à Crépol. (DAMIEN TRIOMPHE / FRANCE BLEU DR?ME-ARD?CHE)

Quatre mois après la mort de Thomas, 16 ans, poignardé dans la nuit du 18 au 19 novembre lors d’un bal de village à Crépol dans la Drome, les investigations ne parviennent toujours pas à lever le voile sur les circonstances exactes du drame. Après une vague d’interpellations lundi 11 mars, ce sont désormais 14 jeunes qui sont mis en examen dans cette affaire pour homicide volontaire et tentatives d’homicides volontaires, car d’autres personnes ont été gravement blessées ce soir-là.

Cette enquête bénéficie de moyens exceptionnels et les témoins sont très nombreux. Mais justice et gendarmerie peinent à mettre un nom sur l’auteur des coups mortels contre Thomas.

Les gendarmes ont entendu plus de 100 témoins directs et réalisé plus de 200 auditions mais cette matière est difficile à exploiter à cause du niveau de violence, de confusion et d’alcoolisation des témoins au moment des faits, sans compter l’absence d’éclairage et de caméras de vidéosurveillance. Les rares séquences tournées au téléphone portables durant la bagarre ne sont pas déterminantes.

« On a des centaines de gens qui disent des choses à peu près toutes contradictoires les unes avec les autres. On a des témoins choqués, alcoolisés ou partie prenante à l’affaire pour certains et donc il y a une déformation, soit volontaire soit involontaire, soit de bonne foi soit de mauvaise foi », explique Romaric Château, l’avocat d’un des jeunes mis en examen dans cette affaire. « Il y a des contradictions très importantes entre les différentes personnes interrogées, de sorte qu’il n’en ressort pas de version cohérente, certaine, établie. »

L’enquête a dès le départ été soumise à une pression politique et médiatique exceptionnelle. La justice écarte toujours l’idée d’une attaque « anti-blancs », préméditée par des jeunes de cité contre ceux de Crépol. Seuls neuf des 104 témoins évoquent un raid raciste quand la très grande majorité des témoignages confirment que le point de départ de ce drame s’est bien déroulé à l’intérieur de la salle des fêtes, en toute fin de soirée. À l’origine, la moquerie d’un rugbyman sur la coupe de cheveux d’un des jeunes du quartier de la Monnaie, une façon de signifier au groupe qu’il n’était pas le bienvenu ce soir-là.

« Ça dégénère vers la fin, au son de Tchikita, de Jul. C’était la dernière chanson, après ça c’était terminé. Un jeune de la Monnaie se fait un peu ’emmerder’ par un jeune rugbyman, il le prend par les cheveux, le frappe. Ils veulent en découdre, sortent et tout part en vrille, raconte Saléra Benarbia, en charge des faits divers à Romans-sur-Isère pour le Dauphiné Libéré. Ils ont entre 16 et 20 ans, ils peuvent très bien se provoquer entre eux donc tout est possible. »

Quatre mois après les faits et la récupération de l’affaire Crépol par l’extrême droite et une partie de la droite républicaine, l’instruction tourne le dos aux motifs racistes mais ne parvient pas pour autant à préciser le ou les responsables de la mort de Thomas.

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Meurtre de l’île de la Comtesse : l’avocat de la défense estime « que la justice se fourvoie

Véronique Duchesne et Thierry Meunier formaient-ils, à l’automne 2010, un couple uni ou au bord de la rupture ?

Ils faisaient front à des problèmes financiers relativement compliqués. Leur attachement, leur amour n’avaient pas été impactés par la situation.

Les finances du couple étaient catastrophiques. Leur dette atteignait 1,10 M€. N’est-ce pas un élément qui, si l’on se place du côté de l’accusation, aurait pu faire perdre le contrôle à Thierry Meunier ?

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Repas de Pâques mortel à Montigny : l’avocat général requiert une peine de 18 ans de réclusion


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Le procès de Romain Lafon, accusé d’avoir tué son beau-frère en lui portant un coup de couteau en plein cœur le 5 avril 2021 à Montigny se poursuit ce mercredi 20 mars.

Jugé à Niort depuis hier, mardi 19 mars, par la Cour d’assises des Deux-Sèvres, Romain Lafon sera fixé sur son sort aujourd’hui, mercredi 20 mars.
Jugé à Niort depuis hier, mardi 19 mars, par la Cour d’assises des Deux-Sèvres, Romain Lafon sera fixé sur son sort aujourd’hui, mercredi 20 mars. | ILLUSTRATION CO – CHRISTOPHE BERNARD

  • Jugé à Niort depuis hier, mardi 19 mars, par la Cour d’assises des Deux-Sèvres, Romain Lafon sera fixé sur son sort aujourd’hui, mercredi 20 mars.
    Jugé à Niort depuis hier, mardi 19 mars, par la Cour d’assises des Deux-Sèvres, Romain Lafon sera fixé sur son sort aujourd’hui, mercredi 20 mars. | ILLUSTRATION CO – CHRISTOPHE BERNARD

Le 5 avril 2021, à Montigny, commune associée à La Forêt-sur-Sèvre, en plein repas de Pâques, Romain Lafon, 27 ans en mai prochain, a commis l’irréparable. Couteau à la main, il frappe son beau-frère, l’atteint en plein cœur.  On peut encore se demander pourquoi la victime, Ahamadi Nchindra, a trouvé la mort. Il n’y avait pas de contentieux entre M. Nchindra et M. Lafon. Le premier a juste voulu prendre la défense de sa femme et de son…

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« Personne n’aime poursuivre les fans », l’ancien avocat de Pokémon explique le comportement de Nintendo

News jeu « Personne n’aime poursuivre les fans », l’ancien avocat de Pokémon explique le comportement de Nintendo

Publié le 20/03/2024 à 05:35

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L’ancien avocat de The Pokemon Company, Microsoft, et Bungie, a expliqué à la presse pourquoi la firme japonaise s’en prend aux jeux de ses fans. Autant dire que ce n’est pas pour rien !

Lors d’une interview accordée à Aftermath, l’ancien avocat en chef de The Pokemon Company, Don McGowan, explique pourquoi l’entreprise faisait systématiquement retirer les fan games créés par la communauté.

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Des décisions magnanimes

Don McGowan, ancien avocat en chef de The Pokemon Company, affirme qu’à l’époque où il travaillait pour eux, le géant ne cherchait pas activement à supprimer les projets de fans. Ils ne passait à l’offensive que “lorsqu’ils franchissaient une certaine ligne”. L’avocat indique également que l’entreprise n’envoie pas de demande de retrait tout de suite. Elle vérifie d’abord si le projet est financé par un Kickstarter ou un organisme similaire. “S’ils sont financés, c’est à ce moment-là que vous engagez”. En effet, l’entreprise ne voudrait pas voir ses fans payer pour des projets qu’ils n’approuvent potentiellement pas.

La pire chose qui puisse arriver à votre projet de fan, c’est qu’il soit diffusé dans la presse, car maintenant je suis au courant. – Don McGowan (Aftermath)

Mc Gowan déclare que l’équipe juridique de The Pokemon Company ne tombait sur un projet de fan que lorsque celui-ci était évoqué dans la presse. “J’étais assis à mon bureau quand quelqu’un m’envoyait l’article, ou que je le trouvais par moi-même”. Il précise alors enseigner à ses étudiants à l’université que, le relais de la presse, est sans doute, la pire chose qui puisse arriver aux projets de fans.

"Personne n'aime poursuivre les fans", l'ancien avocat de Pokémon explique le comportement de Nintendo

Quelques contradictions

Malgré ces déclarations, il est important de rappeler que de nombreux projets liés à pokémon ont été mis hors-ligne par la firme nipponne. On pense par exemple à Pokémon Uranium, qui avait reçu le soutien de l’entreprise avant de se retirer, après neuf ans de développement. En 2022, The Pokemon Company avait déjà fait supprimer des vidéos d’un FPS ayant pour but de chasser les créatures de poche, et qui avaient envahi la toile.

Enfin, même s’il ne s’agit pas d’un projet de fan, le cas Palworld a beaucoup fait parler de lui. Constamment comparé à Pokémon, l’entreprise japonaise déclarait enquêter à ce sujet. Finalement, aucun envoi devant la justice ne sera pourvu envers le titre de Pocket Pair. Néanmoins, The Pokemon Company a tout de même fait supprimer un mod du jeu qui remplaçait les textures originales par leurs propriétés intellectuelles, cependant le créateur du mod faisait payer pour son contenu.


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Procès Encro – L’avocat de Sara B., gérante présumée d’une société-écran, plaide l’acquittement

Sara B. avait reconnu devant les enquêteurs avoir signé des documents présentés par son aîné, en néerlandais, « une langue qu’elle ne connait pas », a affirmé la défense. Selon son avocat, elle a manqué de prudence parce qu’elle faisait totalement confiance à son frère, Anwar B.

Pour le parquet fédéral, ce dernier est membre d’une organisation criminelle active dans un trafic de cocaïne. Le trentenaire est poursuivi pour plusieurs infractions liées à ce réseau, comme le recel de documents tirés de bases de données policières, des faux en écriture pour placer des hommes de paille à la tête de sociétés-écrans, etc.

Sara B. aurait, elle, servi de prête-nom à la société SRL D&S Company, dont elle a été l’administratrice. Toutefois, selon la défense, cette entreprise n’était pas une « société paravent » comme présentée par l’accusation. « Cette sandwicherie occupait l’immeuble déclaré et l’exploitait pour vendre des produits d’alimentation. » Quand la SRL D&S Company est devenue une société de transports, Sara B. n’a plus été son administratrice.

« Rien ne prouve que Sara B. était au courant des activités prétendument infractionnelles d’Anwar B. », a assuré son avocat.

Par ailleurs, la prévenue avait certes convenu en auditions connaître un certain « Monsieur M. ». Cependant, elle faisait alors référence à son médecin traitant et non à Eridan M.G., l’un des dirigeants présumés de l’organisation criminelle, a insisté son avocat.

Le 7 février dernier, le ministère public avait requis 15 mois de prison, une amende de 500 euros et une interdiction de gestion de société pendant cinq ans à l’encontre de Sara B.

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Assassinat de Sarah, 11 ans, noyée dans le Rhône par son père : « Le mobile, c’est la vengeance » requiert l’avocat général à Nîmes

Sergio Gil-Gonzales, 42 ans, a fait appel de sa condamnation en première instance par la cour d’assises du Vaucluse, pour ce crime terrible, commis pour faire souffrir la mère de l’enfant, qui avait définitivement rompu leur relation conjugale. Verdict en fin de journée.

« Le mobile, c’est la vengeance. Sarah sera l’instrument de sa vengeance » insiste ce mardi 19 mars devant la cour d’assises du Gard l’avocat général Dominique Sié, qui requiert une nouvelle fois la réclusion criminelle à perpétuité contre Sergio Gil-Gonzales, déjà condamné en première instance pour avoir tué sa fille de 11 ans en la noyant dans le Rhône, le 18 juillet 2020, à Avignon.

Le magistrat rappelle tous les éléments du dossier qui démontrent qu’il a volontairement donné la mort à sa fille, de façon préméditée, par dépit ou par cruauté, après avoir compris qu’Hélène, la mère de l’enfant, n’allait jamais reprendre la vie commune.

« Une immense souffrance et aucune haine »

« Tout au long de ces trois jours, j’ai entendu une immense souffrance et aucune haine » relève l’avocat général en se tournant vers le visage dévasté d’Hélène, qui pleure en silence sur son banc. « Les paroles de Sergio Gil-Gonzales, c’est des mensonges, et de la perversité. À partir du 22 juillet 2020 où il est placé en garde à vue, jusqu’à aujourd’hui, il n’a cessé de mentir. Je parle de perversité au sens commun, le goût du mal par des moyens détournés. C’est vous Mme Reyes qui en êtes la première des cibles. Quand il vous dit ce n’est pas de votre faute, mais ça veut dire le contraire. Il dit que vous en êtes la responsable. Vous n’êtes responsable de rien. Il n’y a qu’un seul coupable. Un seul. C’est un phénomène d’emprise, de chosification. Le mobile, c’est la vengeance. Sarah sera l’instrument de sa vengeance. »

Réclusion criminelle à perpétuité et 22 ans de sûreté

« Écoutez Sarah, elle vous parle encore, à travers sa mère, les photos que vous avez eues, les expertises. Moi, Sarah, 11 ans, j’aurai éternellement 11 ans, parce que j’ai été assassiné par celui-là même qui était censé me protéger. Parce que mon père ne me voit pas en tant que fille en dehors de ma mère. Sans ma mère, moi, Sarah, je n’avais plus aucune raison d’exister. »

Il se tourne vers l’accusé : « Qui vous dit qu’elle n’a pas souffert ? Elle est morte et cela scelle la souffrance de tout le monde pour l’éternité. Je comprends, Madame, que vous ayez peur pour l’avenir, et c’est la raison de mes réquisitions ». Réclusion criminelle à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté, « et parce qu’il n’a aucune attache en France, il est indispensable de prononcer une interdiction définitive de ce pays sur lequel il crache. »

Lourde tâche pour la défense

Me Alexandre Leizé a la lourde tâche de défendre l'accusé.
Me Alexandre Leizé a la lourde tâche de défendre l’accusé. MIDI LIBRE – François Barrère

En défense, Me Alexandre Leizé a la très difficile tâche de défendre cet accusé que tout accable.

« Par son comportement à l’audience il essaie de se détourner un peu du sujet principal. Ce n’est pas évident d’être face à cette famille et à cet acte » explique l’avocat, qui conteste la préméditation, et qui rappelle le mécanisme de son passage à l’acte. Ce SMS où Hélène lui répond « NON », dix fois, à sa demande d’hébergement.-

« C’est à ce moment là précis, lui qui était dans le déni, qui avait fait des efforts pour arrêter l’alcool, c’est à ce momentlà que la réalité le frappe.On est face à quelqu’un qui a une personnalité particulière. Qui n’arrive pas à comprendre et à réfléchir ses émotions, qui a toujours eu peur de l’abandon. C’est cette charge d’anxiété qu’il n’arrive pas à gérer. »

« Cela fait 20 ans qu’il est alcoolique. Deux heures après les faits il était au téléphone avec un gendarme qui vous dit qu’il était dans un état déplorable. »

Pour l’avocat de la défense, « Il reste un doute sur la préméditation, et ce doute doit lui profiter ». Reste la question de la peine. « Il faut prendre en compte les raisons de son passage à l’acte, et aller au-delà de vos émotions. Evidemment qu’il passera une partie de sa vie en prison » insiste l’avocat, en rappelant la très violente agression filmée dont il a été victime à la prison du Pontet, et qui a valu des peines de 2 à 5 ans de prison aux trois détenus agresseurs.

« Quelle que soit la prison où il ira, il est l’Espagnol tueur d’enfant. Cela le suivra à vie. La perpétuité, c’est une peine de mort sociale qui ne laisse aucun espoir. La perpétuité, c’est refuser qu’un coupable puisse s’amender ».

Un second procès pour faire plus de mal ?

« Ce procès en appel a permis à la souffrance de perdurer, de continuer, de faire un peu plus de mal. Je n’imaginais pas au début de cette audience qu’on pouvait trouver une gradation supplémentaire dans la douleur d’Hélène » avait auparavant souligné Me Marc Geiger, l’avocat d’Hélène, partie civile.

Et l’avocat rappelle que « Sarah a 11 ans est encore éperdue de confiance vis-à-vis de son père. Comment l’enfant peut-il mentaliser que celui qui lui a donné la vie peut être l’artisan de sa mort ? »

« Mourir à 11 ans, c’est ne pas connaître la vie. Elle ne connaîtra pas l’amour, elle ne saura jamais ce que c’est que d’être femme, d’être mère. Sa vie s’est arrêtée dans l’eau saumâtre du Rhône parce que son père en a décidé ainsi. »

Un féminicide par procuration

« Hélène a été victime d’un féminicide par procuration. En assassinat Sarah, il a tué les deux, la fille et la mère. Je forme le vœu que vous puissiez écrire le mot fin sur cet épisode judiciaire qui a duré si longtemps et que vous puissiez apporter un peu de paix à cette famille et à cette maman qui a tant souffert ».

En milieu de matinée, Me François-Xavier Kozan, partie civile pour l’association Enfance en dangereux, est le premier à prendre la parole. « Quelles que soient nos histoires personnelles, nos croyances, nous serons tous d’accord pour dire que quand on tue un enfant, c’est le diable qui murmure. J’aurai aimé que l’institution n’ait jamais été contrainte d’organiser le procès d‘un homme qui a de manière réfléchie et préparée méthodiquement donné la mort à celle que l’on a décrite comme un soleil, et qu’il avait pour mission de protéger. »

« Il n’a eu à mon sens aucune parole respectueuse pour Sarah. Je pense qu’il n’a jamais prononcé dans le temps de cette audience le prénom de Sarah. Il n’a jamais parlé que de ma fille » ajoute l’avocat.

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Assassinat de Sarah, 11 ans, noyée dans le Rhône par son père : « Le mobile, c’est la vengeance » insiste l’avocat général à Nîmes

Sergio Gil-Gonzales, 42 ans, a fait appel de sa condamnation en première instance par la cour d’assises du Vaucluse, pour ce crime terrible, commis pour faire souffrir la mère de l’enfant, qui avait définitivement rompu leur relation conjugale. Verdict en fin de journée.

« Le mobile, c’est la vengeance. Sarah sera l’instrument de sa vengeance » insiste ce mardi 19 mars devant la cour d’assises du Gard l’avocat général Dominique Sié, qui requiert une nouvelle fois la réclusion criminelle à perpétuité contre Sergio Gil-Gonzales, déjà condamné en première instance pour avoir tué sa fille de 11 ans en la noyant dans le Rhône, le 18 juillet 2020, à Avignon.

Le magistrat rappelle tous les éléments du dossier qui démontrent qu’il a volontairement donné la mort à sa fille, de façon préméditée, par dépit ou par cruauté, après avoir compris qu’Hélène, la mère de l’enfant, n’allait jamais reprendre la vie commune.

« Une immense souffrance et aucune haine »

« Tout au long de ces trois jours, j’ai entendu une immense souffrance et aucune haine » relève l’avocat général en se tournant vers le visage dévasté d’Hélène, qui pleure en silence sur son banc. « Les paroles de Sergio Gil-Gonzales, c’est des mensonges, et de la perversité. À partir du 22 juillet 2020 où il est placé en garde à vue, jusqu’à aujourd’hui, il n’a cessé de mentir. Je parle de perversité au sens commun, le goût du mal par des moyens détournés. C’est vous Mme Reyes qui en êtes la première des cibles. Quand il vous dit ce n’est pas de votre faute, mais ça veut dire le contraire. Il dit que vous en êtes la responsable. Vous n’êtes responsable de rien. Il n’y a qu’un seul coupable. Un seul. C’est un phénomène d’emprise, de chosification. Le mobile, c’est la vengeance. Sarah sera l’instrument de sa vengeance. »

Réclusion criminelle à perpétuité et 22 ans de sûreté

« Écoutez Sarah, elle vous parle encore, à travers sa mère, les photos que vous avez eues, les expertises. Moi, Sarah, 11 ans, j’aurai éternellement 11 ans, parce que j’ai été assassiné par celui-là même qui était censé me protéger. Parce que mon père ne me voit pas en tant que fille en dehors de ma mère. Sans ma mère, moi, Sarah, je n’avais plus aucune raison d’exister. »

Il se tourne vers l’accusé : « Qui vous dit qu’elle n’a pas souffert ? Elle est morte et cela scelle la souffrance de tout le monde pour l’éternité. Je comprends, Madame, que vous ayez peur pour l’avenir, et c’est la raison de mes réquisitions ». Réclusion criminelle à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté, « et parce qu’il n’a aucune attache en France, il est indispensable de prononcer une interdiction définitive de ce pays sur lequel il crache. »

Lourde tâche pour la défense

Me Alexandre Leizé a la lourde tâche de défendre l'accusé.
Me Alexandre Leizé a la lourde tâche de défendre l’accusé. MIDI LIBRE – François Barrère

En défense, Me Alexandre Leizé a la très difficile tâche de défendre cet accusé que tout accable.

« Par son comportement à l’audience il essaie de se détourner un peu du sujet principal. Ce n’est pas évident d’être face à cette famille et à cet acte » explique l’avocat, qui conteste la préméditation, et qui rappelle le mécanisme de son passage à l’acte. Ce SMS où Hélène lui répond « NON », dix fois, à sa demande d’hébergement.-

« C’est à ce moment là précis, lui qui était dans le déni, qui avait fait des efforts pour arrêter l’alcool, c’est à ce momentlà que la réalité le frappe.On est face à quelqu’un qui a une personnalité particulière. Qui n’arrive pas à comprendre et à réfléchir ses émotions, qui a toujours eu peur de l’abandon. C’est cette charge d’anxiété qu’il n’arrive pas à gérer. »

« Cela fait 20 ans qu’il est alcoolique. Deux heures après les faits il était au téléphone avec un gendarme qui vous dit qu’il était dans un état déplorable. »

Pour l’avocat de la défense, « Il reste un doute sur la préméditation, et ce doute doit lui profiter ». Reste la question de la peine. « Il faut prendre en compte les raisons de son passage à l’acte, et aller au-delà de vos émotions. Evidemment qu’il passera une partie de sa vie en prison » insiste l’avocat, en rappelant la très violente agression filmée dont il a été victime à la prison du Pontet, et qui a valu des peines de 2 à 5 ans de prison aux trois détenus agresseurs.

« Quelle que soit la prison où il ira, il est l’Espagnol tueur d’enfant. Cela le suivra à vie. La perpétuité, c’est une peine de mort sociale qui ne laisse aucun espoir. La perpétuité, c’est refuser qu’un coupable puisse s’amender ».

Un second procès pour faire plus de mal ?

« Ce procès en appel a permis à la souffrance de perdurer, de continuer, de faire un peu plus de mal. Je n’imaginais pas au début de cette audience qu’on pouvait trouver une gradation supplémentaire dans la douleur d’Hélène » avait auparavant souligné Me Marc Geiger, l’avocat d’Hélène, partie civile.

Et l’avocat rappelle que « Sarah a 11 ans est encore éperdue de confiance vis-à-vis de son père. Comment l’enfant peut-il mentaliser que celui qui lui a donné la vie peut être l’artisan de sa mort ? »

« Mourir à 11 ans, c’est ne pas connaître la vie. Elle ne connaîtra pas l’amour, elle ne saura jamais ce que c’est que d’être femme, d’être mère. Sa vie s’est arrêtée dans l’eau saumâtre du Rhône parce que son père en a décidé ainsi. »

Un féminicide par procuration

« Hélène a été victime d’un féminicide par procuration. En assassinat Sarah, il a tué les deux, la fille et la mère. Je forme le vœu que vous puissiez écrire le mot fin sur cet épisode judiciaire qui a duré si longtemps et que vous puissiez apporter un peu de paix à cette famille et à cette maman qui a tant souffert ».

En milieu de matinée, Me François-Xavier Kozan, partie civile pour l’association Enfance en dangereux, est le premier à prendre la parole. « Quelles que soient nos histoires personnelles, nos croyances, nous serons tous d’accord pour dire que quand on tue un enfant, c’est le diable qui murmure. J’aurai aimé que l’institution n’ait jamais été contrainte d’organiser le procès d‘un homme qui a de manière réfléchie et préparée méthodiquement donné la mort à celle que l’on a décrite comme un soleil, et qu’il avait pour mission de protéger. »

« Il n’a eu à mon sens aucune parole respectueuse pour Sarah. Je pense qu’il n’a jamais prononcé dans le temps de cette audience le prénom de Sarah. Il n’a jamais parlé que de ma fille » ajoute l’avocat.

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Mort de Wanys: « Le passager indique qu’il a entendu les policiers dire ‘on les a eus, bien joué' » selon son avocat

A La Courneuve, en Seine-Saint-Denis, la nuit dernière a été calme après la violente attaque du commissariat dimanche soir. Des violences en lien avec la mort du jeune Wanys, mercredi dernier, lors d’une course poursuite avec la police. Sa famille a porté plainte mais pour l’heure, c’est la thèse de l’accident qui est privilégiée.

Nuit calme à La Courneuve, en Seine-Saint-Denis. Des forces de l’ordre ont été positionnées près du commissariat de la ville après l’attaque de dimanche soir. Des violences en réaction à la mort de Wanys mercredi dernier.

Ce jeune homme de 18 ans, originaire de La Courneuve, a été percuté mortellement à Aubervilliers par un véhicule de police lors d’une course-poursuite. Sa famille a déposé plainte avec constitution de partie civile pour violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort.

Pour la famille de Wanys, la mort du jeune homme n’est pas un accident. La voiture de police qui a percuté son scooter, alors qu’il était poursuivi par un autre véhicule de police, l’a fait en connaissance de cause selon elle.

La piste accidentelle privilégiée

Me Yassine Bouzrou s’appuie sur la vidéo et le témoignage du passager arrière du scooter, lui même grièvement blessé, pour affirmer qu’il s’agit de violences volontaires.

“A ce stade, moi, ce qui m’intéresse, c’est qu’un véhicule a décidé de changer de voie, a décidé de percuter volontairement un scooter en sens interdit. Et le passager, qui est également mon client, indique qu’il a entendu les policiers dire ‘on les a eus, bien joué’ juste après la collision, ce qui vient corroborer le caractère volontaire de l’action des policiers”, assure-t-il.

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Ce témoin, également mis en cause pour complicité de refus d’obtempérer, n’a pas encore été entendu par l’IGPN. Le parquet de Bobigny, qui a ouvert une enquête pour homicide involontaire, privilégie la piste accidentelle en s’appuyant notamment sur les auditions des trois policiers impliqués, qui disent avoir tenté d’éviter un autre véhicule.

Marion Dubreuil avec Guillaume Descours

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