L’avocat d’Observateur Ébène, écroué, appelle Rachida Dati au secours


« Cette affaire traduit la volonté de la Police de la cybercriminalité d’intimider les artistes trop turbulents ou irrévérencieux », alerte Me Reihanian, l'avocat de l'influenceur Observateur Ébène actuellement écroué en Côte d'Ivoire. - Credit:

« Cette affaire traduit la volonté de la Police de la cybercriminalité d’intimider les artistes trop turbulents ou irrévérencieux », alerte Me Reihanian, l’avocat de l’influenceur Observateur Ébène actuellement écroué en Côte d’Ivoire. – Credit:

On ignorait qui il était mais, apparemment, c’est une lacune. 1,2 million de followers sur Instagram, des vidéos vues plus de 13 millions de fois sur Snapchat, un carton à chaque publication sur TikTok… Influenceur et humoriste franco-ivoirien, Kouakou Amany, alias « Observateur Ébène », est une « star » très suivie en Afrique où il est omniprésent sur les réseaux sociaux (Snapchat, Instagram, Tiktok…). Repéré en France par Thierry Ardisson et Cyril Hanouna, habitué des comedy-clubs, ce comédien est en prison depuis mardi, dans la tristement célèbre maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA).

Son crime ? Avoir étrillé et copieusement insulté une autre influenceuse, Marie-Dominique M., plutôt spécialisée dans les produits cosmétiques, également présentatrice de télévision bien connue, que certains médias africains jugent « proche du pouvoir ». Dans une vidéo publiée il y a six mois sur Snapchat, on voit Amany, vautré sur son lit, agonir sa rivale d’injures grossières et sexistes, la qualifiant notamment de « pétasse » et de « p… ».

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Des conditions de détention fortement critiquées

« Je ne partage pas l’humour de mon client, qui, soit dit en passant, doit être pris au second degré. Ses blagues, aussi outrageantes soient-elles, justifient-elles pour autant qu’il soit détenu dans les pires conditions ? Je ne le crois pas, d’autant qu’il avoue à la fin de sa vidéo s’être trompé de […] Lire la suite

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Solidarité avec Gaza : une « procédure purement policière », selon l’avocat de Solidaires Étudiant·e·s à l’EHESS

Dans l’enseignement supérieur, la criminalisation visant les manifestations de solidarité avec les Palestiniens continue de battre son plein. Six mois après le 7 octobre 2023, six membres ou ex-adhérents du syndicat Solidaires Étudiant·e·s à l’École des Hautes études en sciences sociales (EHESS) de Paris sont visés par une enquête préliminaire pour « apologie du terrorisme ».

En cause, semble-t-il, un communiqué syndical paru le 8 octobre, juste après les attaques terroristes menées par le Hamas. Sur le moment, ce texte rappelle le contexte politique de la colonisation israélienne, et apporte son soutien à la lutte « du peuple palestinien, dans toutes ses modalités et forme de lutte, y compris la lutte armée ». Il avait alors fait l’objet d’un signalement via la plateforme Pharos par la direction de l’EHESS.

Des étudiants interrogés par l’antiterrorisme et la police judiciaire

Pendant plusieurs mois, rien ne s’est passé… Mais depuis début février, les convocations se multiplient dans les locaux des groupes de lutte antiterroriste, un service de police rattaché à la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ).

Plusieurs étudiants, élues dans les instances de l’EHESS, sont entendues en audition libre. L’une d’entre elles a déjà été reconvoquée une deuxième fois. « C’est vraiment très compliqué de comprendre ce qu’on nous reproche précisément, témoigne-t-elle auprès de l’Humanité. Pour nous, c’est fatigant, cela correspond à une forme de harcèlement qui nous oblige à ne nous occuper que de notre défense, sans plus pouvoir militer librement… »

Pour Me Antoine Comte, avocat des membres de Solidaires Étudiant·e·s à l’EHESS, « nous sommes face à une procédure policière où on ne nous dit rien… L’enquête préliminaire permet de ne pas donner connaissance des faits réellement reprochés aux personnes entendues ou à leur avocat. On nous parle de l’éternelle apologie du terrorisme. Je dis » éternelle « car elle n’est jamais définie. Quels sont les mots, les actes qui posent problème ? On ne nous dit pas. Si un juge d’instruction était saisi, il aurait l’obligation de désigner les propos ou des actes précis. Ce qui permettrait à la défense de s’exprimer dans les conditions contradictoires maximales. »

Un tempo policier qui interroge

En l’occurrence, pour les syndicalistes de l’EHESS, rien dans le communiqué originel ne devrait faire l’objet de poursuites. « Nous avons joué le jeu, nous nous présentons et nous répondons aux questions, ajoute une autre militante. Mais tout dans ce que nous avons écrit dans le communiqué correspond à des concepts validés par le droit international. » Me Antoine Comte corrobore : « Il n’y a pas un mot qui ne soit pas consacré par le droit international. Pis ! Ce qui est reproché aux étudiants, c’est ce que la France défend dans les enceintes internationales, qu’il s’agisse du conseil de sécurité ou de l’Assemblée générale des Nations Unies. C’est très choquant que des positions de droit externe puissent devenir sanctionnable en droit interne. »

Plus inquiétant encore : Solidaires Étudiant·e·s s’interroge sur le tempo dans le harcèlement policier. « Les convocations ont commencé à pleuvoir après que la Cour internationale de Justice (CIJ) a ordonné à Israël de prévenir et punir tout acte de génocide en cours à Gaza, dénoncent les militantes interrogées par l’Humanité. C’est aussi une manière d’intimider les mouvements sociaux, et notamment dans la jeunesse, pour décourager les mobilisations dans l’enseignement supérieur, après avoir attaqué de nombreux chercheurs et universitaires spécialisés sur la Palestine dans une approche décoloniale. On a également vu depuis comment une affaire a été montée de toutes pièces à Sciences Po, début mars, dans le cadre de la mobilisation à l’appel de la Coordination universitaire européenne contre la colonisation en Palestine (CUCCP)… »

« Comme par hasard, et c’est très déplaisant de l’imaginer, tout ça survient après la décision de la CIJ, avance aussi Me Comte. C’est troublant car là, nous sommes face à une deuxième salve. À l’automne, il y avait plusieurs cas, où effectivement les déclarations pouvaient ne pas être satisfaisantes de mon point de vue, avec parfois des relents d’antisémitisme. Mais désormais, on est bien longtemps après. Certes, les services de police ne peuvent pas toujours être rapides, mais c’est quand même étonnant… Tout ça est très désagréable et très éloigné des libertés démocratiques, maintenant que ces questions d’apologie du terrorisme ont été sorties du droit de la presse et qu’elles ouvrent à des sanctions bien différentes, bien plus lourdes. »

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Benjamin de Vanssay (avocat) « L’avis du CEPD aura des conséquences sur toute l’économie d’internet »

Pour Benjamin de Vanssay (Cabinet Samman), avocat au barreau de Bruxelles, l’avis défavorable du CEPD au modèle « pay or consent » appliqué par Meta pourrait avoir des conséquences pour tous les éditeurs en ligne.

JDN. Le Comité européen de la protection des données (CEPD, ou EDPB en anglais) considère qu’offrir le choix entre consentir à la collecte de ses données personnelles ou payer un abonnement n’est pas conforme au RGPD. Que pensez-vous de cet avis rendu public ce mercredi 17 avril ?

Benjamin de Vanssay est avocat au cabinet Samman © Samman

Benjamin de Vanssay. Cet avis soulève plusieurs problèmes majeurs. Il heurte la liberté d’entreprendre et le droit fondamental pour chaque acteur économique de définir son propre business modèle. De plus, il génère du flou et donc de l’incertitude juridique en créant une nouvelle catégorie parmi les grandes plateformes en ligne qui ne correspond pas à celles définies par le DSA et le DMA. Dans cet avis, le CEPD distingue en effet, d’un côté, les grands acteurs, de l’autre les plus petits acteurs. Or, il n’y a rien dans le RGPD qui permet de faire cette distinction.

Le CEPD indique qu’une alternative n’impliquant pas de paiement ni de collectes de données à des fins de publicité personnalisée doit être proposée. Pourquoi cette « troisième voie » pose problème à la liberté d’entreprendre ?

Chaque entreprise doit disposer de la liberté de déterminer son propre modèle. Celles qui souhaitent offrir une troisième voie peuvent le faire, mais ce choix doit leur appartenir. A travers cet avis, le CEPD entre dans des considérations économiques, un domaine qui ne concerne pas le RGPD. Si la publicité non ciblée était aussi efficace et rentable que la publicité ciblée, elle serait devenue depuis longtemps le standard du marché. On touche là au modèle économique d’internet qui est un débat de société et qui doit être traité par le législateur.

La publicité ciblée n’est interdite par aucun texte. Par ailleurs, le CEPD s’aventure sur le terrain du droit de la concurrence, ce qui n’est pas son rôle. Enfin, le droit des utilisateurs à accéder au contenu sans contrepartie devient un droit fondamental, c’est une tendance de fond qui veut que le droit à la vie privée soit au-dessus de tous les autres droits. Or, telle n’est pas la logique du RGPD qui pose le principe fondamental de l’équilibre entre le droit à la vie privée et la liberté d’entreprendre, entre autres.

Le CEPD a émis cet avis en réponse à la consultation de trois Cnil européennes dans différentes affaires qui opposent des associations de défense de la vie privée à Meta. Peut-il avoir un impact sur les éditeurs et notamment ceux qui imposent des pay walls et des « cookies walls » ?

Cet avis aura des conséquences sur toute l’économie de l’Internet. Même s’il n’a pas de valeur juridique propre en ce qu’il n’est pas contraignant, sa portée est beaucoup plus large que le seul cas Meta. Le CEPD lui-même indique que cet avis s’adresse aux grandes plateformes mais également qu’il a pour vocation de guider la réflexion des autorités de protection de donnés nationales dans l’évaluation d’autres affaires concernant d’autres types d’acteurs. Cela peut potentiellement concerner tous les éditeurs en ligne, car dans son avis le CEPD évoque lui aussi, à l’instar de ce qu’avait déjà fait la Cnil française, une alternative payante « raisonnable » à la non collecte des données personnelles. Mais est-ce aux Cnil de définir ce qu’est un prix raisonnable ? Une étude que nous venons de publier démontre que les Cnil ne disposent pas des outils ni de l’expérience requise pour calculer la valeur des services, contrairement aux Autorités de la concurrence. En pratique, vu la grande diversité de cookies walls mis en place par les éditeurs en ligne, la question se posera au cas par cas.

Meta déclare que la « Cour de justice de l’Union européenne a déjà statué que le modèle des abonnements était un moyen juridiquement valable pour les entreprises demandant le consentement à la collecte des données personnelles ».  Ont-ils raison de se baser sur cette décision ?

Meta se base sur un arrêt de la CJUE de juillet 2023 qui a été donnée en réponse à une affaire qui à l’origine était traitée par l’Autorité de la concurrence allemande. La CJUE a confirmé la nécessité du consentement pour la collecte des données personnelles tout en indiquant accessoirement qu’une alternative payante « raisonnable » pouvait être formulée.

Que va-t-il se passer maintenant ?

Cet avis du CEPD n’étant pas une décision juridique, il n’est pas contestable en soi devant les juridictions européennes ou nationales. Il nourrira les décisions des Cnil dans le traitement des différentes plaintes au niveau national, dont celle opposant les différentes associations à Meta, et potentiellement amener à des sanctions. Ces décisions pourront ensuite être contestées devant les différents tribunaux nationaux qui finiront probablement par les faire remonter à la CJUE. Il faudra à terme que la CJUE se prononce très précisément sur cette question du « pay or consent ».

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Brésil : un avocat sosie de Superman fait le buzz

Publié le 18/04/2024 10:05

Durée de la vidéo : 1 min

Au Comic-con de São Paulo, un avocat de 36 ans a fait le buzz pour sa ressemblance frappante avec Superman. Depuis, il est accueilli en rockstar et tisse des liens.
Brésil : un avocat sosie de Superman fait le buzz Au Comic-con de São Paulo, un avocat de 36 ans a fait le buzz pour sa ressemblance frappante avec Superman. Depuis, il est accueilli en rockstar et tisse des liens. (France 2)

Au Comic-con de São Paulo, un avocat de 36 ans a fait le buzz pour sa ressemblance frappante avec Superman. Depuis, il est accueilli en rockstar et tisse des liens.

Dans les rues de Brasilia (Brésil), Léonardo Muylaert ne passe pas inaperçu. Il serre des mains, prend des photos et, comme tout bon super héros, il porte assistance aux habitants de son quartier pour leur plus grand plaisir. « Il est gentil et très beau », confie une femme. Pour cet avocat de 36 ans, l’aventure commence au Comic-con de São Paulo. Un visiteur le filme, lui trouvant une ressemblance avec Clark Kent. Il poste la vidéo sur les réseaux sociaux.

Le Brésilien s’est alors pris au jeu et commande le célèbre costume sur Internet. Depuis, partout où il va, Superman est accueilli en rockstar. Son objectif : redonner le sourire à des populations parfois malades et apporter un message d’espoir. « Incarner le personnage, visiter des institutions, faire du travail social, je pense que cela laisse un héritage qui est l’image du héros, répandant la joie partout où il va », confie Léonardo Muylaert.

 

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Cameroun : l’avocat d’Eto’o répond à la CAF

Convoqué ce mercredi par
la Confédération africaine de football (CAF)
pour s’expliquer
par rapport aux trucages de matches présumés dont il est accusé,
Samuel Eto’o, le président de la fédération camerounaise (Fécafoot), s’est défendu
via son avocat Antoine Vey.

En attendant le verdict de la CAF, ayant entendu Samuel Eto’o et
son interlocuteur téléphonique Valentin Nkwain, le président du
club de Victoria United, impliqués tous les deux dans une affaire
de possible trucage de matches dévoilée par un enregistrement
audio, l’avocat Antoine Vey a lâché une première réaction.

Dans un entretien pour le Guardian, la robe noire
française a nié l’implication de l’ancien attaquant dans un
quelconque favoritisme. “M. Eto’o ne reconnaît pas avoir
participé à une conversation dans laquelle il parle évidemment de
corruption. Si vous écoutez l’audio, il essaie de rassurer le
président d’un club sur certains problèmes qu’il rencontre ; il dit
que le problème sera réglé, mais il ne dit pas que c’était par des
moyens illégaux ou quoi que ce soit du genre”
, a-t-il
défendu.

Deux versions divergentes

Le patron du cabinet Vey et Associés en a profité pour
dénoncer une cabale présumée de la part de ses détracteurs parmi
lesquels il semble inclure la CAF, elle-même reprise de volée par
Eto’o fin février. “On ne voit pas vraiment à quoi sert
l’audio. Cela n’a pas grand-chose à voir avec la procédure et n’est
qu’une partie d’une campagne visant à nuire à la réputation
d’Eto’o. Nous pensons que cette enquête ne repose sur rien et
qu’elle a été ouverte uniquement pour créer une publicité négative
à l’égard de M. Eto’o (…) Nous n’acceptons pas la façon dont ils
agissent. Si vous prenez la chronologie, nous ne comprenons pas
pourquoi l’audience a lieu maintenant et pourquoi elle n’a pas eu
lieu en août. Nous pouvons également constater que les gens
utilisent ce genre d’absurdités procédurales pour créer de fausses
nouvelles à son sujet”
, a affirmé le Rhodanien.

Cette défense a toutefois tendance à renforcer les soupçons sur
la culpabilité d’Eto’o. En effet, elle diverge de l’ancienne
version de ses proches selon laquelle l’enregistrement serait faux.
Affaire à suivre…

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L’avocat a « cliqué sur le mauvais bouton » : marié depuis 21 ans, un couple divorcé contre son gré à cause d’une erreur informatique

Le divorce non désiré a été accordé après 21 minutes seulement.

Qui pouvait imaginer qu’une simple erreur informatique puisse briser un mariage ? Sûrement pas le cabinet d’avocats Vardag. Et pourtant, comme le rapportent la BBC et The Guardian, un associé du prestigieux cabinet d’avocats britannique dirigé par Ayesha Vardag, qui se proclame « la diva du divorce », a utilisé un portail en ligne pour demander une ordonnance définitive de divorce pour un couple, sauf que, par erreur, il a accidentellement cliqué sur le dossier électronique d’un autre mariage. Deux jours plus tard, M. et Mme Williams, mariés depuis 21 ans, ont découvert qu’ils avaient divorcé par erreur.

L’entreprise a immédiatement demandé à la Haute Cour d’annuler la décision, mais il était trop tard. Le juge Andrew McFarlane a rejeté la demande : « L’ordinateur dit non, vous êtes divorcé », a-t-il dit, notant qu' »avec sa rapidité désormais habituelle », le système a accordé le divorce après seulement 21 minutes.

Divorcés à cause d’un mauvais clic

Le cabinet, qui représentait Mme Williams, a fait valoir qu’un de ses employés avait simplement « cliqué sur le mauvais bouton«  et que, parce que le jugement de divorce avait été rendu par erreur, il devait simplement être annulé. Cependant, le juge McFarlane a rejeté les arguments de l’épouse, affirmant que ses avocats étaient « autorisés à agir en son nom et que le tribunal était habilité à faire droit à la demande de dissolution définitive du mariage ». Pour enfoncer le clou, le magistrat a ajouté que, même si la sentence était annulable, il y avait « un fort intérêt politique à respecter la fermeté qui découle d’une résolution définitive de divorce et à maintenir le statu quo qui a été établi ».

Vardag est un prestigieux cabinet d’avocats qui compte parmi ses clients des personnalités importantes telles que des membres de familles royales comme des princes du Qatar, mais aussi des magnats des affaires malaisiens, des footballeurs stars, ou encore d’autres célébrités et millionnaires en tous genres. Cependant, ni sa réputation ni l’argument selon lequel il doit y avoir une « intention » de la part de celui qui demande le divorce ne l’ont aidé à faire reculer le juge et à permettre l’annulation de ce divorce non désiré.

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Guillaume Guillier nommé avocat associé du cabinet TGS à Rennes

Le cabinet national d’avocats TGS France (22 bureaux, 170 collaborateurs, siège à Angers) a nommé Guillaume Guillier avocat associé au bureau de Rennes. Originaire de la capitale bretonne, âgé de 31 ans, il a prêté serment en décembre 2017 et a intégré TGS à Nantes en 2018 après diverses expériences en France et à l’étranger. Il a d’abord accompagné les PME et start-up en droit des sociétés avant de participer à l’ouverture du cabinet TGS France Avocats de Rennes en janvier 2022. Responsable du bureau depuis février 2023, il en est donc désormais associé. Son objectif est d’assurer le développement de l’agence, qui vise le million d’euros de chiffre d’affaires d’ici à trois ans. Une ambition qui devrait passer par une opération de croissance externe pour apporter au bureau de nouvelles compétences.

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Un tribunal ordonne au Pakistan de rétablir l’accès à X sous une semaine (avocat à l’AFP)

Publié le : 17/04/2024 – 12:44

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Un tribunal du sud du Pakistan a ordonné mercredi au gouvernement de rétablir l’accès au réseau social X (ex-Twitter) « sous une semaine », a indiqué à l’AFP Moiz Jaaferi, l’avocat qui avait saisi la justice contre ce blocage.

« La Haute cour du Sindh a donné une semaine au gouvernement pour retirer sa lettre » exigeant « le blocage de X ». Les restrictions à l’accès à X ont débuté le 17 février lorsqu’un haut fonctionnaire avait affirmé avoir aidé à truquer les élections législatives du 8 février, a affirmé l’avocat.

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Sosie malgré lui, un avocat brésilien joue les Superman

Superman habite Brasilia. Mais il aurait pu lui-même l’ignorer s’il ne s’était pas rendu un jour à Sao Paulo. Les réseaux sociaux ont fait le reste.

En 2022, l’avocat brésilien Leonardo Muylaert, 36 ans, visitait le Comic Con de Sao Paulo (sud-est), grand-messe dédiée à la culture comics, quand un autre visiteur l’a filmé avec son téléphone. « C’est Clark Kent que je vois ici? », s’est interrogé ce dernier dans sa vidéo, qui a rapidement atteint des milliers de vues sur TikTok.

Leonardo Muylaert n’avait même pas de compte sur les réseaux sociaux, et ne s’imaginait nullement ressembler au journaliste binoclard capable de se changer en Superman.

Ressemblance frappante avec l’Américain Christopher Reeve

Quelques semaines plus tard, il comprenait qu’il était devenu le « Superman brésilien », en raison de sa ressemblance frappante avec l’Américain Christopher Reeve, le plus célèbre acteur ayant interprété le super-héros au cinéma. « C’était à la fois fou et amusant de voir qu’autant de personnes pensaient que je ressemblais à Superman », confie-t-il.

Il s’est vite pris au jeu: il a commandé un costume bleu à cape rouge sur internet et a commencé à voyager à travers le Brésil en incarnant Superman — prenant bien soin d’enlever ses lunettes.

Du haut de ses 2,03 m, ce colosse souriant visite hôpitaux ou écoles, pose pour des photos avec des curieux dans les rues et tente d’apporter un message d’espoir. Le tout sans réclamer un centime.

Il n’hésite plus à s’afficher sur les réseaux: son profil intitulé « tallclark » (le grand Clark) sur Instagram est suivi par plus de 115 000 personnes. Une de ses vidéos a été partagée sur le réseau social X par James Gunn, réalisateur des « Gardiens de la Galaxie » (2014) et du prochain film de la saga Superman.

Leonardo Muylaert peut compter sur sa compagne Helenise Santos, qui gère son agenda, filme ses vidéos et doit sans cesse répondre à la question: « Etes-vous Loïs Lane? »

Lors d’un voyage récent à Rio de Janeiro (sud-est), il a fait le bonheur des patients et de l’équipe médicale de l’Institut de traumatologie et d’orthopédie (Into), un hôpital public.

Avocat spécialisé en droit civil

« Sa présence donne le sourire à tout le monde. Cela nous donne une nouvelle énergie pour faire face à notre quotidien intense », dit le coordinateur de recherches de l’Into, Rodrigo Cardoso.

L’avocat, qui a étudié aux Etats-Unis grâce à une bourse pour jouer au basket, a distribué des cadeaux aux enfants hospitalisés et posé pour des dizaines de selfies.

Mais l’avenir du Superman brésilien reste incertain, en raison des très prosaïques obligations professionnelles. Quand il n’arbore pas son costume bleu et rouge, il revient à sa vie d’avocat spécialisé en droit civil.

Son rôle de super-héros « remplit un vide dans la routine de la vie de bureau, qui est parfois très solitaire », admet-il.

En costume-cravate dans son bureau de la capitale Brasilia, lunettes sur le nez, il ressemble à s’y méprendre à Clark Kent sur son lieu de travail à la ville, la rédaction du Daily Planet. « Parfois, quand on est plongé des heures dans la paperasse, on oublie l’importance des relations humaines (…). J’ai commencé à rendre service aux gens et les retours sont incroyables, donc ça me motive pour continuer. »

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Pascal-Pierre Garbarini, avocat dans la vie et à l’écran

Sur la cheminée trône une figurine en plâtre de Francis Blanche, le Folace des Tontons flingueurs avec ses doubles bretelles, son calibre et sa sacoche bourrée d’oseille. Au mur, l’affiche de Belle de jour et, dans le bureau voisin de la collaboratrice, celle du Samouraï. Pour éclairer la salle de réunion : un projecteur de cinéma braqué sur la table ovale.

Avons-nous frappé à la bonne porte ? Sommes-nous bien chez « Garbarini & Associés, avocats à la cour », 22 avenue de Friedland, dans le 8e arrondissement de Paris ? Ou dans les bureaux d’un agent artistique ? Un producteur de cinéma, peut-être ? « Vous savez, il y a beaucoup de points communs entre un acteur et un plaideur », sourit Me Pascal-Pierre Garbarini, qui, dans un solide accent corse, nous confirme que nous sommes bien à la b…


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